Jai descendu dans mon jardin. chansons pour enfants : J'ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot nouveau J'n'en avais pas cueilli trois brins (bis) Qu'un rossignol vint sur ma main Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot Il me dit trois mots
Saphoto figure dans l’album de famille. Léon, le paon, a vécu 25 ans dans le jardin de la famille Willaume à Blénod-lès-Pont-à -Mousson (54). Il appartenait à Huguette, la
Jai descendu dans mon jardin Avant qu'il ne reste plus rien Pour y cueillir du romarin DeSSuS la terre ou dans la mer Mais dans l'jardin, y avait plus rien Crions bien fort notre colère La faute au Gaucho mesdames ! Plus de pesticides mesdames ! La faute au Gaucho messieurs ! Plus de pesticides messieurs ! (Merci aux coquelicots de Seine Saint Denis) Plus un oiseau, plus un
Chansonenfantine France Comptine. J’ai descendu dans mon jardin
Jai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin Pour y cueillir du romarin. Refrain Gentil coqu'licot mesdames Gentil coqu'licot nouveau Gentil coqu'licot mesdames Gentil coqu'licot nouveau. Pour y cueillir du romarin Pour y cueillir du romarin J' n'en avais pas cueilli trois brins. Refrain J' n'en avais pas cueilli trois brins J' n'en avais pas cueilli trois brins Qu'un
ecIi. Paroles de la chanson Gentil Coquelicot par Henri Dès Gentil coquelicot J'ai descendu dans mon jardin x2 Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot Mesdames Gentil coquelicot nouveau Un rossignol vint sur ma main Il me dit 3 mots en latin Gentil coquelicot Mesdames Gentil coquelicot nouveau Que les hommes ne valent rien x2 Et les garçons encore bien moins Gentil coquelicot Mesdames Gentil coquelicot nouveau Des dames il ne me dit rien bis Des demoiselles beaucoup de bien Gentil coquelicot Mesdames Gentil coquelicot nouveau Sélection des chansons du moment
Contenu en pleine largeur J’ai descendu dans mon jardin Gentil coquelicot de Jean-Baptiste Weckerlin Imprimer les paroles de la chanson ♦ Paroles J’ai descendu dans mon jardin Gentil coquelicot J’ai descendu dans mon jardin bis Pour y cueillir du romarin. Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Pour y cueillir du romarin bis J’n’en avais pas cueilli trois brins Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. J’n’en avais pas cueilli trois brins, bis Qu’un rossignol vint sur ma main Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Qu’un rossignol vint sur ma main, bis Il me dit trois mots en latin Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Il me dit trois mots en latin, bis Que les hommes ne valent rien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Que les hommes ne valent rien, bis Et les garçons encor bien moins Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Et les garçons encor bien moins, bis Des dames il ne me dit rien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Des dames il ne me dit rien, bis Mais des d’moiselles beaucoup de bien Gentil coq’licot, Mesdames. Gentil coq’licot nouveau. Jean-Baptiste Weckerlin Go to Top
Pour y cueillir du romarin, Gentil coquelicot, mesdames... Je suis revenue une fois encore dans le jardin de la Grande Vigne, en cet après-midi de novembre où les premières gelées ont bruni fleurs et feuilles. Je reste fidèle à ce lieu où tout a commencé et tout s'est terminé il a abrité la fleur de notre amour, à la fois si flamboyante et si fragile, fleur dont, je le sais désormais, la racine est définitivement morte. Je ne peux oublier le contenu d'une lettre envoyée par un ami bien intentionné à qui je ne demandais rien il m'a appris que tu t'étais marié. Malgré le long cortège des années, j'avais espéré que renaîtrait le sentiment que tu avais éprouvé pour moi, comme on attend l'éternel retour du printemps. Mais ce n'était qu'une cruelle illusion, de même que la lumière douce et dorée des après-midis me faisait croire que c'était encore l'été. Semblables à un bouquet de roses aux multiples couleurs, les souvenirs ont reparu, transperçant mon cœur de leurs épines. Tout a commencé un matin gris de janvier, il y a presque vingt ans de cela. Je m'apprêtais à quitter le lycée entre deux cours ; en franchissant le portail, j'ai entendu des pas derrière moi. Je me suis retournée et je t'ai vu, toi le beau ténébreux, solitaire et taciturne, dont le charme en avait séduit plus d'une. Tu m'as souri et tu m'as demandé si tu pouvais m'accompagner. J'ai été surprise que tu m'adresses la parole, car jusque-là tu m'avais superbement ignorée, même si nous étions dans la même classe depuis plusieurs mois. Mue par la curiosité, j'ai accepté et nous avons descendu en silence l'allée qui conduit à l'entrée de la propriété. La porte s'est ouverte sur le jardin engourdi par le froid ; j'ai eu l'impression de pénétrer dans un labyrinthe, comme si le paysage pourtant familier recélait des mystères insoupçonnés. Quand nous sommes arrivés en bas de la charmille, avant qu'on se dirige vers le potager, tu m'as tendu en silence un papier où tu avais recopié une poésie, transformant le vouvoiement en tutoiement Ma bien- aimée Tu as cessé de m'aimer, moi qui jusqu'à la mort compte sur ton cœur. Laisse-moi mon erreur pour me laisser la vie. Tu m'as oublié comme on oublie un rêve, Comme efface le jour ce qu'enfante la nuit. Pour moi, ton œil est froid et ton cœur est fermé. Mais je t'aime. Au moment où j'ai relevé les yeux, j'ai aperçu les perce-neige et j'ai su qu'un sentiment ne demandait qu'à éclore. Trop émue pour te répondre, j'ai plongé dans le bleu de tes yeux, à la fois portée et ballottée par les vagues de ton désir. M'arrachant à ce tourbillon, j'ai fait quelques pas et je me suis tournée vers la statue de Saint Yves, pour qu'il m'aide à retrouver mon chemin, mais il est resté sourd à mes prières. J'ai pris conscience qu'il était grand temps de retourner au lycée et nous avons fermé la porte du jardin, témoin de notre secret. Puis les jours ont succédé aux jours, le rythme des saisons a suivi celui de notre amour, ponctué par de tendres promenades un premier baiser salué par les jonquilles et des brassées d'autres dans la ronde du muguet, du myosotis, des ancolies, des pavots, des dahlias... jusqu'à ne plus former qu'un seul être. Je nous revois parcourant, main dans la main ou enlacés, les allées, moments privilégiés où tu n'étais qu'à moi, bien loin de ce que j'appelais, sous la morsure de la jalousie, la foule de tes admirateurs et surtout de tes admiratrices. Quand nous traversions le verger ou que nous déambulions dans le potager, ton esprit pratique te faisait envisager l'avenir très concrètement avec maison et enfants ; pour ma part, l'instant présent me suffisait je ne me sentais pas prête à entrer dans l'âge adulte ni à assumer toutes ces responsabilités. Et puis le destin s'est rappelé à moi je venais d'obtenir mon bac ; nos routes allaient se séparer puisque tu restais au lycée. Je ne savais comment aborder le problème, sans te froisser, comme on craint d'abîmer les pétales d'une fleur. Nous nous sommes retrouvés une dernière fois, au port, la veille du 14 juillet. Main dans la main, nous avons parcouru le quai, en direction de la Maison de la Grande Vigne. Miraculeusement le portail était resté ouvert et nous sommes remontés vers la maison, pour admirer le feu d'artifice, depuis le verger, loin de la foule. Ensuite nous sommes restés dans les bras l'un de l'autre, écoutant la vie nocturne de la nature qui nous entourait une fois encore de sa bulle protectrice. Il a fallu se séparer ce soir-là après un dernier baiser. Et puis tu as disparu de ma vie comme tu y étais entré, brutalement et sans explication, dévastant sans remords le jardin de mon cœur. Maintenant que j'ai compris que cet amour ne refleurirait plus, peut-être ce jardin qu'on a surnommé le Paradou redeviendra-t-il, pour moi, l'Eden d'avant le serpent. De même que la Rance coule paisiblement en ses méandres, les intermittences du cœur feront place à un battement régulier. Comme un petit coquelicot, mon âme Comme un petit coquelicot.
J'ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot, nouveau Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot J'n'en avais pas cueilli 3 brins J'n'en avais pas cueilli 3 brins Qu'un rossignol vint sur ma main Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot, nouveau Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot Il me dit 3 mots en latin Il me dit 3 mots en latin Que les hommes ne valent rien Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot, nouveau Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot Des dames il ne me dit rien Des dames il ne me dit rien Des demoiselles beaucoup de bien Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot, nouveau Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot
J'ai descendu dans mon jardin x2 Pour y cueillir du romarin. Refrain Gentil coqu'licot, Mesdames, Gentil coqu'licot, nouveau ! Pour y cueillir du romarin x2 J' n'en avais pas cueilli trois brins Qu'un rossignol vint sur ma main Il me dit trois mots en latin Que les homm's ne valent rien Et les garçons encor bien moins ! Des dames, il ne me dit rien Mais des d'moisell' beaucoup de bien. Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
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