Codede procĂ©dure civile : articles 510 Ă  513 Article 510 (dĂ©lai de grĂące) Code civil : articles 1343 Ă  1343-5 Article 1343-5 (dĂ©cision du JEX pour le paiement d'une somme) CODEDE PROCÉDURE CIVILE, COMMERCIALE ET SOCIALE Page 1 S O M M A I R E Code de procĂ©dure civile, commerciale et sociale DĂ©cret n o99-254/P-RM du 15 septembre 1999 TITRE I Les dispositions prĂ©liminaires page 3 TITRE II Les audiences et la reprĂ©sentation des parties page 9 TITRE III La procĂ©dure gracieuse page 10 TITRE IV La procĂ©dure Larticle 47 du Code de procĂ©dure civile applicable Ă  l'avocat assignĂ© en liquidation judiciaire. L'article 47 du Code de procĂ©dure civile applicable Ă  l'avocat assignĂ© en liquidation judiciaire. codede procĂ©dure civile algĂ©rien. code de procĂ©dure pĂ©nale pdf. article 40 du code de procĂ©dure pĂ©nale. article 61 du code de procĂ©dure pĂ©nale. code de procedure pĂ©nal. article preliminaire code procedure penale. article 4 du code de procĂ©dure pĂ©nale. article 591 du code de procĂ©dure pĂ©nale. Codecivil du QuĂ©bec annotĂ© . Table des matiĂšres; Recherche; Notes 0; Plus ePub Imprimer le document complet Imprimer l'Ă©lĂ©ment sĂ©lectionnĂ© de la TdM Imprimer plusieurs Ă©lĂ©ments de la TdM SĂ©lectionner tout DĂ©sĂ©lectionner tout Imprimer la sĂ©lection Retour en haut. Tout dĂ©velopper. Tout rĂ©duire. LIVRE PREMIER — DES PERSONNES. art. 1. TITRE PREMIER — DE LA PJM1sA. La responsabilitĂ© des commettants du fait de leurs prĂ©posĂ©s. La responsabilitĂ© des commettants est l’obligation de rĂ©parer le prĂ©judice causĂ© par leurs prĂ©posĂ©s.. L’article 1242 al 5 du code civil dispose que Les maĂźtres et les commettants sont responsables du dommage causĂ© par leurs domestiques et prĂ©posĂ©s dans les fonctions auxquelles ils les ont employĂ©s; ». Domaine de la responsabilitĂ© Commettant le commettant est la personne qui charge une autre d’exĂ©cuter une mission en son nom et qui assume la responsabilitĂ© civile des actes accomplis au titre de cette mission. PrĂ©posĂ© Celui qui agit sous la direction du commettant est le prĂ©posĂ©. Le prĂ©posĂ© ne rĂ©pond pas – sauf faute pĂ©nale – des dommages qu’il cause Ă  autrui dans le cadre de son activitĂ© professionnelle; le commettant, seul, engage sa responsabilitĂ©, car de tels dommages sont considĂ©rĂ©s comme un risque d’entreprise. » DĂ©finition du commettant et du prĂ©posĂ© issue du site 1242 al 5 du code civil ne joue que pour des dommages causĂ©s par un prĂ©posĂ© Ă  des tiers. Si la victime est un autre prĂ©posĂ©, la responsabilitĂ© du commettant sera de nature contractuelle. A – Les conditions L’article 1242 al 5 du code civil soulĂšve pour son application deux questions importantes, qu’est ce qu’un prĂ©posĂ© ? qu’entend t-on par fonction ? Cour de cassation a eu beaucoup de mal Ă  fixer sa doctrine. Pour engager la responsabilitĂ© du commettant du fait de son prĂ©posĂ©, les conditions sont les suivantes Un lien de prĂ©position entre le prĂ©posĂ© et le commettant il faut qu’il existe un lien de prĂ©position, ce lien n’est pas clairement dĂ©fini, la jurisprudence considĂšre que ce lien est caractĂ©risĂ© lorsqu’il existe un lien d’autoritĂ© et un lien de subordination. Va ĂȘtre commettant, toute personne qui a le droit ou le pouvoir de donner Ă  une autre, ici le prĂ©posĂ©, des ordres et des instructions tenant Ă  la fois au but Ă  atteindre et aux moyens Ă  employer la plupart du temps, le lien de subordination va rĂ©vĂ©ler un contrat de travail l’employeur fait office de commettant. Le lien de prĂ©position dans la jurisprudence dĂ©borde le cas du contrat de travail. Deux questions se sont posĂ©es Quid en cas de travail temporaire ? Il faut se rĂ©fĂ©rer au critĂšre d’autoritĂ©. Sera prĂ©sumĂ© responsable, la personne qui avait une autoritĂ© effective sur le prĂ©posĂ© au moment ou le dommage Ă  Ă©tĂ© causĂ©. Quid quand une personne peut donner des ordres Ă  une autre sans qu’il y ait pour autant contrat de travail? Dans cette hypothĂšse, Ă  quand bien mĂȘme il n’y a pas de contrat, cette personne sera le commettant. Il sera prĂ©posĂ© occasionnel. Ce lien de prĂ©position appelle plusieurs remarques Ce lien de prĂ©position dĂ©passe le cadre du contrat de travail, nĂ©anmoins il y a toujours un lien d’autoritĂ© et de subordination. En consĂ©quence, le mandataire va rester indĂ©pendant, il ne peut donc pas ĂȘtre prĂ©posĂ©, le mandant n’est pas commettant. Un entrepreneur qui rĂ©alise des travaux lorsqu’il est indĂ©pendant, n’est pas prĂ©posĂ©. Dans certains cas, la jurisprudence tient compte des circonstances de fait, elle scrute les circonstances dans lesquelles ont eu lieu le dommage. Parfois la jurisprudence tient compte de l’apparence, une victime soutient qu’elle Ă  cru qu’une personne Ă©tait le prĂ©posĂ© d’une autre. Peut elle retenir la responsabilitĂ© de cette personne en tant que commettant, en principe le lien de prĂ©position doit rĂ©ellement exister, une apparence ne suffit pas. Pour apprĂ©cier l’abus de fonction, les juges tiennent parfois compte de l’apparence et essaieront de dĂ©terminer si la victime pouvait croire que le prĂ©posĂ© agissait dans le cadre de ses fonctions. Normalement le prĂ©posĂ© est subordonnĂ©, il n’exerce pas librement, mais la jurisprudence est parfois souple et la cour de cassation Ă  estimĂ© que l’indĂ©pendance professionnelle dont joui le mĂ©decin dans l’exercice de son art, n’est pas incompatible avec l’état de subordination qui rĂ©sulte d’un contrat de louage de service le louant Ă  un tiers Chambre criminelle, 05/03/1992, croix rouge. Un mĂ©decin peut ĂȘtre un prĂ©posĂ©, pas dans l’exercice de la mĂ©decine, mais parce qu’il est subordonnĂ© administrativement. Un lien de prĂ©position implique une subordination et une autoritĂ©, l’expression naturelle est le contrat de travail mais pour autant ce lien ne se rĂ©duit pas au contrat de travail parce que la jurisprudence recours Ă  la notion de prĂ©posĂ© occasionnel. – Une faute du prĂ©posĂ© le commettant va ĂȘtre responsable des dommages causĂ©s par ses prĂ©posĂ©s dans l’exercice de ses fonctions, le commettant n’est pas responsable lorsque le prĂ©posĂ© cause un dommage en dehors de ses fonctions. Le commettant n’est pas responsable lorsqu’il y a abus de fonction. Cette question Ă  donnĂ© lieu Ă  5 arrĂȘts en l’espace de 28 ans entre 1960 et 1988 de la formation la plus solennelle de la Cour de cassation. Conflit entre deux chambres de la cour de cassation. La premiĂšre Ă©cole dĂ©fendue par la chambre criminelle retient une conception large de la responsabilitĂ© du commettant puisque elle admet facilement le rattachement aux fonctions. Elle retient rarement l’abus de fonction parce qu’elle estime qu’il y aura rattachement aux fonctions toutes les fois ou le dommage est causĂ© au temps, au lieu, ou avec les moyens mis a disponibilitĂ© du prĂ©posĂ© par le commettant. Elle opĂšre un rattachement objectif et retient une conception Ă©troite de l’abus de fonctions. La seconde Ă©cole est dĂ©fendue par la chambre civile qui retient une conception finaliste, elle prend en considĂ©ration la raison pour laquelle le prĂ©posĂ© a Ă©tĂ© engagĂ©. Quelle Ă©tait sa mission. Conception plus rigoureuse et revient Ă  admettre moins souvent la responsabilitĂ© du commettant car rattachement plus difficile. RĂ©sumĂ© des 5 arrĂȘts 09/03/1960 premier arrĂȘt des chambres rĂ©unies, un prĂ©posĂ© sans permis de conduire utilise le vĂ©hicule du commettant alors que celui-ci le lui Ă  interdit, accident, la chambre criminelle Ă  retenue la responsabilitĂ© du commettant, c’est le moyen de l’entreprise. Les chambres rĂ©unies dĂ©cident que le fait d’avoir accĂšs aux moyens du dommage pendant le temps de travail est insuffisant pour retenir la responsabilitĂ© du commettant. Chambre criminelle, motivation des chambres rĂ©unies pas trĂšs clair, dĂ©saccord persiste. 10/06/1977 AssemblĂ©e plĂ©niĂšre. Chauffeur utilise son vĂ©hicule de fonction en dehors de son temps de travail, accident. Le commettant n’est pas responsabilitĂ© du dommage causĂ© par le prĂ©posĂ© qui utilise sans autorisation et Ă  des fins personnelles le vĂ©hicule qui lui est confiĂ© pour l’exercice de ses fonctions. La chambre criminelle rĂ©siste et dĂšs lors que le dommage n’était pas causĂ© par un vĂ©hicule utilisĂ© par le prĂ©posĂ© a des fins criminelles. 17/06/1983 AssemblĂ©e plĂ©niĂšre. Le commettant n’est pas responsable du dommage causĂ© par le prĂ©posĂ©, qui agissant sans autorisation, Ă  des fins Ă©trangĂšres Ă  ses attributions, s’est placĂ© hors des fonctions auxquelles il Ă©tait employĂ©. Pour certains auteurs, pour qu’il y ai abus de fonctions trois conditions absence d’autorisation, poursuite d’une fin Ă©trangĂšre aux fonctions, dĂ©passement objectif des fonctions. Pour d’autres auteurs, seules les deux premiĂšres conditions Ă©taient exigĂ©es. La troisiĂšme condition est remplie du fait que la deuxiĂšme l’est. 17/11/1985 AssemblĂ©e plĂ©niĂšre. Tranche en faveur de la seconde interprĂ©tation doctrinale. La troisiĂšme serait la condition de la seconde. 19/05/1988 AssemblĂ©e plĂ©niĂšre. Le commettant s’exonĂšre de sa responsabilitĂ© si son prĂ©posĂ© Ă  agit 1 hors des fonctions auxquelles il Ă©tait employĂ©, 2 sans autorisation, 3 et Ă  des fins Ă©trangĂšres Ă  ses attributions. Trois critĂšres le prĂ©posĂ© Ă  agit en dehors de ses fonctions, sans autorisation, Ă  des fins Ă©trangĂšres. Conclusion AprĂšs toute cette Ă©volution, la Cour de cassation dans ce dernier arrĂȘt Cass., ass. plĂ©n., 19 mai 1988.a retenu que le commettant ne s’exonĂšre de sa responsabilitĂ© que si son prĂ©posĂ© a agi hors des fonctions auxquelles il Ă©tait employĂ©, sans autorisation, et Ă  des fins Ă©trangĂšres Ă  ses attributions Cass., ass. plĂ©n., 19 mai 1988. Trois critĂšres le prĂ©posĂ© Ă  agit en dehors de ses fonctions, hors lieu de travail, hors moyens fournis sans autorisation, Ă  des fins Ă©trangĂšres. CritĂšre finaliste de la chambre civile. Prise en compte du but de l’emploi du prĂ©posĂ©. Comparaison entre le but de l’emploi du prĂ©posĂ© et ses intentions. Il faut qu’il ait agit Ă  des fins personnelles. L’avant projet de loi de rĂ©forme de la responsabilitĂ© civile consacre ces critĂšres 1249 al 3 du code civil retiendra ces trois critĂšres. En cas d’abus de fonction, seul le prĂ©posĂ© est tenu responsable sur le fondement de l’article 1240, 1242 al 1 du code civil. Deux conditions, agit dans ses fonctions, ai commis une faute. Dans le cadre de la responsabilitĂ© des commettants du fait des prĂ©posĂ©s, il faudra une faute de ces derniers au sens de l’article 1240 du code civil le gardien ne peut pas ĂȘtre gardien de la chose. 1242. B – Le rĂ©gime Le prĂ©posĂ© va t-il toujours ĂȘtre tenu sur la responsabilitĂ© du fait personnel ? 1° une responsabilitĂ© de plein droit du commettant Le commettant est responsable de plein droit et ne peut s’exonĂ©rer en rapportant la preuve de son absence de faute. Une exonĂ©ration de responsabilitĂ© est possible uniquement s’il prouve que le dommage est dĂ» Ă  un cas de force majeure, dont les Ă©lĂ©ments constitutifs doivent ĂȘtre apprĂ©ciĂ©s Ă  l’égard du prĂ©posĂ© 2° La responsabilitĂ© personnelle du prĂ©posĂ© a° le systĂšme posĂ© par le Code civil. On le sait, depuis l’arrĂȘt du 19 mai 1988, le commettant s’exonĂšre de sa responsabilitĂ© lorsque le salariĂ© a agi hors de ses fonctions, sans autorisation, Ă  des fins Ă©trangĂšres Ă  ses attributions. Donc logiquement, dans cette situation, le salariĂ© est personnellement responsable de ses actes. Mais cette quid de la responsabilitĂ© du salariĂ© qui agit dans le cadre de ses fonctions et commet une simple faute portant prĂ©judice Ă  un tiers ? Traditionnellement, la victime avait le choix d’agir soit contre le prĂ©posĂ© seul, soit contre le commettant seul, soit contre les deux tenus in solidum. Le commettant qui avait indemnisĂ© la victime pouvait ensuite exercer une action rĂ©cursoire contre son prĂ©posĂ©. b° L’évolution Ce systĂšme traditionnel a Ă©tĂ© mis en cause par la jurisprudence
 peut-on parler d’immunitĂ© du prĂ©posĂ© s’il commet une faute dans les limites de sa fonction ? L’évolution s’est produite avec l’arrĂȘt Costedoat AssemblĂ©e plĂ©niĂšre 25/02/2000. au visa des anciens articles 1382 et 1384 al 5 du code civil, la Cour de cassation Ă  Ă©noncĂ© dans un attendu de principe que n’engage pas sa responsabilitĂ© Ă  l’égard des tiers le prĂ©posĂ© qui Ă  agit sans excĂ©dĂ© les limites de sa mission. Autrement dit lorsque le prĂ©posĂ© commet une faute mais qu’il est restĂ© dans les limites de sa mission alors il n’est pas tenu, il n’est pas responsable. La personne tenue est le commettant. Cet arrĂȘt Ă  créé l’immunitĂ© de responsabilitĂ© du prĂ©posĂ©. Pourquoi ? car le commettant doit supporter les risques de son entreprise. Des lors que le prĂ©posĂ© est dans sa mission, le commettant est seul tenu. L’annĂ©e suivante, en 2001 l’assemblĂ©e plĂ©niĂšre Ă  limitĂ© l’immunitĂ© du prĂ©posĂ©. ArrĂȘt Cousin, 14/12/2001. Dans cet arrĂȘt elle Ă©nonce que, le prĂ©posĂ© condamnĂ© pĂ©nalement pour avoir intentionnellement commis, fut-ce sur l’ordre de son commettant, une infraction ayant portĂ© prĂ©judice Ă  un tiers, engage sa responsabilitĂ© civile Ă  l’égard de celui ci. En cas d’infraction pĂ©nale intentionnelle, on est donc au-delĂ  des limites de la mission du prĂ©posĂ© en se fondant sur la gravitĂ© de l’acte commis. Une faut pĂ©nale intentionnelle exclue toute immunitĂ© du prĂ©posĂ©. Autrement dit, le prĂ©posĂ© qui commet une infraction intentionnelle engage dans tous les cas sa propre responsabilitĂ©, mĂȘme lorsqu’elle a Ă©tĂ© commise sur ordre du commettant Ass. plĂ©n. 14 dĂ©c. 2001. Par la suite cour de cassation a exclu toute immunitĂ© civile du prĂ©posĂ© en cas d’infraction pĂ©nale non intentionnelle Crim 27/05/2014, dĂšs lors que le prĂ©posĂ© commet une faute pĂ©nale, il ne peut bĂ©nĂ©ficier d’aucune immunitĂ©. La seconde chambre civile semble avoir une notion plus restrictive de l’immunitĂ©, elle Ă  retenue que la responsabilitĂ© du prĂ©posĂ© pouvait ĂȘtre engagĂ©e lorsque le prĂ©judice de la victime rĂ©sulte d’une faute pĂ©nale ou d’une faute intentionnelle. Conclusion Le prĂ©posĂ© n’engage plus sa responsabilitĂ© s’il a agi dans les limites de la mission impartie par son commettant 25 fĂ©vr. 2000, Costedoat. Il bĂ©nĂ©ficie d’une immunitĂ© TOUTEFOIS, le prĂ©posĂ© ne bĂ©nĂ©ficie plus de cette immunitĂ© si le prĂ©posĂ© condamnĂ© pour faute pĂ©nale intentionnelle, le prĂ©posĂ© ayant commis une faute pĂ©nale non intentionnelle qualifiĂ©e le prĂ©posĂ© ayant commis une faute intentionnelle. 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Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de procĂ©dure civile ci-dessous Article 47 EntrĂ©e en vigueur 2017-09-01 Lorsqu'un magistrat ou un auxiliaire de justice est partie Ă  un litige qui relĂšve de la compĂ©tence d'une juridiction dans le ressort de laquelle celui-ci exerce ses fonctions, le demandeur peut saisir une juridiction situĂ©e dans un ressort limitrophe. Le dĂ©fendeur ou toutes les parties en cause d'appel peuvent demander le renvoi devant une juridiction choisie dans les mĂȘmes conditions. A peine d'irrecevabilitĂ©, la demande est prĂ©sentĂ©e dĂšs que son auteur a connaissance de la cause de renvoi. En cas de renvoi, il est procĂ©dĂ© comme il est dit Ă  l'article 82. L’appel L’appel est une voie de recours ordinaire et de rĂ©formation contre les jugements rendus en premiĂšre instance. Pour dĂ©ployer pleinement ses effets II, l’appel est soumis Ă  un certain nombre de conditions de recevabilitĂ© I. I. — Les conditions de recevabilitĂ© de l’appel Pour ĂȘtre recevable, l’appel doit aussi bien satisfaire des conditions de fond A, que des conditions de forme B. A. — Les conditions de fond L’appel n’est ouvert que contre 1. — Les dĂ©cisions rendues en matiĂšre contraventionnelle uniquement pour les contraventions de 5eclasse ; les peines d’amende dont le montant est supĂ©rieur Ă  150 euros ; ou lorsque le jugement du Tribunal de Police a statuĂ© sur l’action civile ; 2. — Les dĂ©cisions rendues en matiĂšre correctionnelle par le Tribunal correctionnel ; 3. — Les dĂ©cisions rendues en matiĂšre criminelle par la Cour d’assises. À cela s’ajoute que seul un nombre de personnes limitativement prĂ©vu par le Code de procĂ©dure pĂ©nale peuvent former un appel 1. — La personne objet des poursuites ; 2. — La partie civile seulement concernant la dĂ©cision ayant statuĂ© sur l’action civile ; 3. — Le ministĂšre public ; 4. — La personne civilement responsable et l’assureur du mis en cause ou de la partie civile uniquement s’agissant des dispositions affairant aux intĂ©rĂȘts civils ; 5. — Les administrations Ă  l’origine des actions par exemple, les douanes. B. — Les conditions de forme de l’appel D’abord, l’appel principal doit ĂȘtre interjetĂ© dans un certain dĂ©lai pour ĂȘtre recevable. À cet Ă©gard il convient de distinguer 1. — L’appel des parties, lequel doit ĂȘtre formĂ© dans un dĂ©lai de dix jours Ă  compter du prononcĂ© du jugement ou de sa notification aux intĂ©ressĂ©s ; 2. — L’appel du parquet, qui est de vingt jours Ă  compter du prononcĂ© du jugement. Lorsqu’une ou plusieurs parties font appel, le Code de procĂ©dure pĂ©nale fait bĂ©nĂ©ficier aux autres parties d’un dĂ©lai supplĂ©mentaire de cinq jours. On parle alors d’appel incident. 3. — Ensuite, l’acte d’appel doit ĂȘtre signĂ©, et fait auprĂšs du greffe de la juridiction ayant rendu la dĂ©cision attaquĂ©e. Si l’appelant est incarcĂ©rĂ©, la dĂ©claration d’appel est faite auprĂšs du chef de l’établissement pĂ©nitentiaire dans lequel il est Ă©crouĂ©. II. — Les effets de l’appel L’appel a pour effet de suspendre l’exĂ©cution de la dĂ©cision attaquĂ©e A, et de renvoyer l’affaire devant la Cour d’appel B. A. — L’effet suspensif de l’appel Aux termes de l’article 506 du Code de procĂ©dure pĂ©nal, il est sursis Ă  l’exĂ©cution du jugement pendant les dĂ©lais d’appel et durant l’instance d’appel. Il s’ensuit que l’exĂ©cution des dispositions pĂ©nales et civiles du jugement de premiĂšre instance ne peuvent ĂȘtre portĂ©es Ă  exĂ©cution pendant ce dĂ©lai. 1. — S’agissant des dispositions pĂ©nales du jugement de premiĂšre instance Il dĂ©coule de ce qui prĂ©cĂšde que l’exĂ©cution de la ou des peines prononcĂ©es Ă  la requĂȘte du ministĂšre public a lieu lorsque la dĂ©cision est devenue dĂ©finitive article 708 du Code de procĂ©dure pĂ©nale. Cependant, il existe nombre d’exceptions Ă  ce principe a. — Le dĂ©lai d’appel accordĂ© au reprĂ©sentant du ministĂšre public ne fait pas obstacle Ă  ce que la peine soit portĂ©e Ă  exĂ©cution article 708 du Code de procĂ©dure pĂ©nale. DĂšs lors, le jugement de premiĂšre instance devient exĂ©cutoire Ă  l’issue du dĂ©lai de dix jours laissĂ© aux parties pour interjeter appel. b. — Certaines dispositions du Code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voient que des peines peuvent faire l’objet d’une exĂ©cution provisoire si un texte le prĂ©voit 1. — Tel est le cas des sanctions pĂ©nales prononcĂ©es en application des articles 131-5 et 131-11 et 132-25 à 132-70 du Code pénal par exemple, suspension du permis de conduire, qui peuvent ĂȘtre dĂ©clarĂ©es exĂ©cutoires par provision article 506 du Code de procĂ©dure pĂ©nale ; 2. — Il ressort de l’article 132-41 du Code de procĂ©dure pĂ©nale que la juridiction de premiĂšre instance peut assortir de l’exĂ©cution provisoire une condamnation Ă  une peine de sursis probatoire ; 3. — De mĂȘme, il n’y a pas d’obstacle Ă  ce qu’une procĂ©dure de comparution sur reconnaissance prĂ©alable de culpabilitĂ© CRPC soit immĂ©diatement exĂ©cutoire article 495-11 du Code de procĂ©dure pĂ©nale ; 4. — Dans le cadre d’une procĂ©dure de comparution immĂ©diate, l’article 397-4 du Code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voit que la juridiction de premiĂšre instance a la facultĂ© de placer ou maintenir le prĂ©venu en dĂ©tention provisoire, sous contrĂŽle judiciaire, ou sous assignation Ă  rĂ©sidence avec surveillance Ă©lectronique par dĂ©cision spĂ©cialement motivĂ©e dans l’attente de l’audiencement de l’appel ; 5. — Enfin, le Tribunal a la facultĂ© de placer ou maintenir le prĂ©venu en dĂ©tention provisoire, sous contrĂŽle judiciaire, ou sous assignation Ă  rĂ©sidence avec surveillance Ă©lectronique si la peine prononcĂ©e en premiĂšre instance est Ă©gale ou supĂ©rieure Ă  une annĂ©e d’emprisonnement. Il lui appartiendra alors de dĂ©cerner un mandat de dĂ©pĂŽt par dĂ©cision spĂ©cialement motivĂ©e. 2. — S’agissant des dispositions civiles du jugement de premiĂšre instance L’effet suspensif de l’appel concerne Ă©galement les dispositions civiles du jugement de premiĂšre instance contre lequel appel s’avĂšre interjetĂ©. Cependant lĂ  encore, il existe des exceptions Ă  ce principe. En outre, le tribunal statuant en premiĂšre instance peut ordonner le versement provisoire de tout ou partie des dommages et intĂ©rĂȘts allouĂ©s Ă  la partie civile, ou encore demander une provision exĂ©cutoire article 464 du Code de procĂ©dure pĂ©nale ; B. — L’effet dĂ©volutif de l’appel L’appel a pour effet de saisir la juridiction de l’ordre judiciaire appartenant Ă  l’échelon supĂ©rieur la Cour d’appel. Il convient de noter que cette saisine n’opĂšre que dans les limites fixĂ©es par l’acte d’appel, ainsi que par la qualitĂ© de l’appelant articles 509 et 515 du Code de procĂ©dure pĂ©nale, ce qui emporte deux consĂ©quences a. — La premiĂšre la Cour d’appel ne saurait connaitre de faits qui n’auraient pas Ă©tĂ© abordĂ©s devant le Tribunal, de mĂȘme qu’elle ne peut statuer concernant des personnes qui n’étaient pas parties en premiĂšre instance ; b. — La seconde la Cour d’appel n’est amenĂ©e Ă  statuer que sur les dispositions ayant fait l’objet d’un recours. Il est donc exclu qu’elle se prononce sur des Ă©lĂ©ments qui n’auraient pas Ă©tĂ© contestĂ©s par l’une des parties Ă  l’instance. Ainsi, elle ne peut 1. — Statuer sur des faits nouveaux non Ă©voquĂ©s en premiĂšre instance ; 2. — RĂ©pondre Ă  de nouvelles demandes qui n’auraient pas Ă©tĂ© formulĂ©es au prĂ©alable ; 3. — Aggraver le sort du condamnĂ© ou de la partie civile sur son seul appel. En effet, l’article 515 du Code de procĂ©dure pĂ©nale dispose que la Cour ne peut, sur le seul appel du prĂ©venu, du civilement responsable, de la partie civile ou de l’assureur de l’une de ces personnes, aggraver le sort de l’appelant. Il faut donc qu’il y ait Ă©galement appel de la partie adverse pour que le sort de la partie appelante puisse ĂȘtre aggravé. Par exception, le mĂȘme texte prĂ©voit que la Cour peut, sur l’appel du ministĂšre public, soit confirmer le jugement, soit l’infirmer en tout ou en partie dans un sens favorable ou dĂ©favorable au prĂ©venu. DĂšs lors, la rĂšgle prĂ©citĂ©e peut ĂȘtre neutralisĂ©e par l’appel du ministĂšre public. III. — Contacter un avocat L’appel Pour votre dĂ©fense 453 code de procĂ©dure pĂ©nale appel code de procĂ©dure pĂ©nale appel d’offre avocat 464 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel d’un jugement correctionnel appel d’un jugement correctionnel effet suspensif 506 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel avocat dĂ©lai appel avocat obligatoire 509 code de procĂ©dure pĂ©nale appel code procĂ©dure pĂ©nale appel correctionnel 530-1 code de procĂ©dure pĂ©nale appel correctionnel dĂ©lai appel correctionnel suspensif 557 code de procĂ©dure pĂ©nale d’abord, L’appel appel avec avocat appel avocat barreau 708 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel Ă  avocat appel Ă  jugement a interjetĂ© appel du jugement appel avocat pĂ©nal avocat spĂ©cialiste appel paris appel procĂ©dure pĂ©nale arrestation appel procĂ©dure pĂ©nale article 40 avocat postulant appel avocat spĂ©cialisĂ© appel puis, L’appel appel procĂ©dure pĂ©nale citation directe appel procĂ©dure pĂ©nale code avocat pour un appel avocat qui fait appel appel procĂ©dure pĂ©nale criminalitĂ© organisĂ©e appel procĂ©dure pĂ©nale d’arrĂȘt avocat pour appel avocat pour faire appel appel procĂ©dure pĂ©nale de la preuve appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©finition avocat oublie de faire appel avocat paris cour d’appel Versailles appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©lai d’appel appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement avocat fait appel Ă  un expert avocat gĂ©nĂ©ral appel appel procĂ©dure pĂ©nale des dĂ©lais appel procĂ©dure pĂ©nale directe avocat d’appel avocat en appel obligatoire ensuite, L’appel appel procĂ©dure pĂ©nale droit pĂ©nal appel procĂ©dure pĂ©nale du contradictoire avocat droit pĂ©nal avocat en appel appel procĂ©dure pĂ©nale fonction publique appel procĂ©dure pĂ©nale française article 506 ccp avocat appel qui fait appel procĂ©dure pĂ©nale française accusatoire ou inquisitoire appel procĂ©dure pĂ©nale garde Ă  vue avocat cour d’appel avocat cour d’appel paris appel procĂ©dure pĂ©nale gendarmerie appel procĂ©dure pĂ©nale homme avocat appel urgence avocat appelĂ© maitre appel procĂ©dure pĂ©nale jonction appel procĂ©dure pĂ©nale judiciaire avocat appel paris aussi, L’appel avocat appel pension alimentaire appel procĂ©dure pĂ©nale juge d’instruction appel procĂ©dure pĂ©nale jugement avocat appel avocat appel international appel procĂ©dure pĂ©nale jurisprudence appel procĂ©dure pĂ©nale justice avocat appel judiciaire avocat appel juridique appel procĂ©dure pĂ©nale la preuve appel procĂ©dure pĂ©nale mineur article 708 code de procĂ©dure pĂ©nale avocat absent en appel appel procĂ©dure pĂ©nale mineur victime appel procĂ©dure pĂ©nale obligatoire article 708-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale audience correctionnelle cour d’appel appel procĂ©dure pĂ©nale opj appel procĂ©dure pĂ©nale ou civile Ă©galement, L’appel article 524 code de procĂ©dure pĂ©nale article 576 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale paris appel procĂ©dure pĂ©nale perquisition article 515 du ccp article 515-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale poursuite appel procĂ©dure pĂ©nale pourvoi en cassation article 515 code de procĂ©dure pĂ©nale article 515 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale prescription appel procĂ©dure pĂ©nale preuve article 515 alinĂ©a 2 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 515 alinĂ©a 3 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale qualification appel procĂ©dure pĂ©nale question article 464-2 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 465-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale questionnaire de mĂȘme, L’appel appel procĂ©dure pĂ©nale reforme article 509 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 509-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale salaire appel procĂ©dure pĂ©nale terrorisme article 506 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 509 code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale trafic de stupĂ©fiants appel procĂ©dure pĂ©nale travail dissimulĂ© article 464 du ccp aprĂšs, L’appel article 464-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale tribunal correctionnel appel procĂ©dure pĂ©nale tribunal de police article 33 code de procĂ©dure pĂ©nale article 464 alinĂ©a 3 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale vice appel procĂ©dure pĂ©nale victime article 464 code de procĂ©dure pĂ©nale article 464 du code de procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale vie privĂ©e appel procĂ©dure pĂ©nale voies de recours appeler imparfait appel procĂ©dure pĂ©nale vol appel rĂ©fĂ©rĂ© avocat obligatoire appeler en privĂ© appel sans avocat appel sans avocat obligatoire appeler au prĂ©sent appel suspensif code de procĂ©dure pĂ©nale appel un jugement mais, L’appel arrĂȘt cour d’appel correctionnelle article 501 du code de procĂ©dure pĂ©nale avocat cour d’appel Versailles avocat et appel calcul dĂ©lai appel correctionnel calcul dĂ©lai appel jugement correctionnel avocat obligatoire appel correctionnel= avocat spĂ©cialiste procĂ©dure d’appel Versailles caducitĂ© appel jugement non signifiĂ© calcul dĂ©lai d’appel pĂ©nal calcul du dĂ©lai d’appel en matiĂšre pĂ©nale caractĂšre suspensif de l’appel certificat de non appel procĂ©dure pĂ©nale chambre correctionnelle de la cour d’appel code de procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale appel cour d’appel avocat non obligatoire cour d’appel chambre correctionnelle avocat cour d’appel cour d’appel avocat gĂ©nĂ©ral cour d’appel correctionnelle code pĂ©nal code pĂ©nal français car, L’appel cour d’appel correctionnelle paris cour d’appel correctionnelle procĂ©dure code procĂ©dure pĂ©nale comment avocat appel d’offre composition cour d’appel correctionnelle computation dĂ©lai d’appel jugement correctionnel computation du dĂ©lai d’appel en matiĂšre pĂ©nale conditions de recevabilitĂ© de l’appel consĂ©quences de l’appel du 18 juin 1940 consĂ©quences de l’appel d’un jugement constitution avocat appel intimĂ© constitution avocat en appel convocation cour d’appel correctionnelle cour d’appel arrĂȘt cour d’appel correctionnelle avocat obligatoire dĂ©lai appel correctionnel covis dĂ©lai appel correctionnel covis 19 cour d’appel de paris chambre correctionnelle cour d’appel de paris greffe correctionnel dĂ©lai appel jugement correctionnel partie civile dĂ©lai appel jugement correctionnel sur intĂ©rĂȘts civils cour d’appel de Versailles greffe correctionnel cour d’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lai appel correctionnel dĂ©lai appel correctionnel parquet cour d’appel greffe correctionnel cour d’appel judiciaire dĂ©lai appel en correctionnel dĂ©lai appel jugement tribunal correctionnel cour d’appel jugement cour d’appel justice dĂ©lai d’appel jugement pĂ©nal dĂ©lai d’appel jugement pĂ©nal sur intĂ©rĂȘts civils cour d’appel paris chambre correctionnelle cour d’appel pĂ©nal certes, L’appel dĂ©lai d’appel tribunal correctionnel dĂ©lai pour constituer avocat appel cour d’appel tribunal correctionnelle cour d’assise cour d’appel dĂ©lai d’appel code procĂ©dure pĂ©nale dĂ©lai d’appel correctionnel cout avocat pour appel dĂ©claration d’appel avocat obligatoire dĂ©claration d’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lai d’appel pĂ©nal point de dĂ©part dĂ©lai d’appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©claration d’appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©lai appel avocat garde Ă  vue dĂ©lai appel correctionnel partie civile effets de l’appel effets de l’appel civil dĂ©lai appel jugement tribunal correctionnel sur intĂ©rĂȘts civils effet de l’appel en droit administratif effet suspensif de l’appel en matiĂšre civile dĂ©lai appel procĂ©dure pĂ©nale dĂ©lai audiencement appel correctionnel effet suspensif de l’appel en matiĂšre correctionnelle effet suspensif de l’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lai d’appel au pĂ©nal dĂ©lai d’appel correctionnel covis effet suspensif de l’appel droit administratif effet suspensif de l’appel en matiĂšre administrative dĂ©lai d’appel correctionnel partie civile dĂ©lai d’appel dĂ©cision pĂ©nale alors, L’appel effet suspensif de l’appel et exĂ©cution provisoire effet suspensif de l’appel exĂ©cution provisoire dĂ©lai d’appel droit pĂ©nal dĂ©lai d’appel d’une condamnation pĂ©nale effet de l’appel en matiĂšre correctionnelle effet suspensif de l’appel dĂ©finition dĂ©lai d’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lai d’appel en pĂ©nal effet suspensif de l’appel article effet suspensif de l’appel code de procĂ©dure civile dĂ©lai d’appel incident pĂ©nal dĂ©lai d’appel jugement correctionnel sur intĂ©rĂȘts civils effet suspensif de l’appel au pĂ©nal effet suspensif de l’appel civil dĂ©lai d’appel jugement tribunal correctionnel dĂ©lai d’appel matiĂšre pĂ©nale effet suspensif appel pĂ©nal effet suspensif de l’appel dĂ©lai d’appel ordonnance pĂ©nale dĂ©lai d’appel pĂ©nal effet dĂ©volutif de l’appel et Ă©vocation effet dĂ©volutif de l’appel pĂ©nal dĂ©lai d’appel pĂ©nal 10 jours ouvrĂ©s pourtant, L’appel dĂ©lai d’appel pĂ©nal covis effet non suspensif de l’appel administratif effet suspensif appel jugement correctionnel dĂ©lai d’appel pĂ©nal covis 19 dĂ©lai d’appel pĂ©nal jours ouvrĂ©s effet dĂ©volutif appel pĂ©nal effet dĂ©volutif de l’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©lais appel correctionnel dĂ©lais appel jugement correctionnel effet de l’appel en matiĂšre pĂ©nale effet de l’appel sur un jugement dĂ©lais appel tribunal correctionnel dĂ©lais d’appel correctionnel dĂ©sistement d’appel en matiĂšre pĂ©nale dĂ©sistement d’appel procĂ©dure pĂ©nale droit pĂ©nal effet de l’appel effet de l’appel au pĂ©nal droit pĂ©nal des affaires droit pĂ©nal spĂ©cial effet suspensif de l’appel pĂ©nal ci-aprĂšs, L’appel effet suspensif de l’appel rĂ©forme la procĂ©dure la procĂ©dure d’appel en matiĂšre civile effet suspensif et dĂ©volutif de l’appel effets de l’appel en garantie l’appel en matiĂšre criminelle l’appel en matiĂšre pĂ©nale effets de l’appel en matiĂšre civile exception Ă  l’effet suspensif de l’appel faire appel jugement huissier frais avocat appel frais avocat en appel gagner en appel jugement honoraires avocat appel honoraires avocat en appel les effets de l’appel en matiĂšre pĂ©nale les effets de l’appel en procĂ©dure civile honoraires avocat pour appel irrecevabilitĂ© appel partie civile irrecevabilitĂ© appel provoquĂ© jugement en cour d’appel jugement faire appel suivant, L’appel l’article 464 du ccp la chambre correctionnelle de la cour d’appel la procĂ©dure d’appel en matiĂšre pĂ©nale l’effet dĂ©volutif de l’appel dĂ©finition l’effet suspensif de l’appel la recevabilitĂ© de l’appel l’appel du jugement statuant exclusivement sur la compĂ©tence l’appel d’un jugement est-il suspensif les effets de l’appel en droit les effets de l’appel en procĂ©dure pĂ©nale l’appel en droit pĂ©nal l’appel en justice recevabilitĂ© appel contentieux administratif recevabilitĂ© appel cour administrative l’appel en procĂ©dure pĂ©nale l’article 464 du code de procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure appel correctionnel procĂ©dure contradictoire enfin, L’appel le code pĂ©nal le droit pĂ©nal procĂ©dure d’appel civil procĂ©dure d’appel en justice l’effet de l’appel appel anonyme procĂ©dure pĂ©nale appel avocat tĂ©lĂ©chargement illĂ©gal verbe appeler appel d’un jugement avant dire droit appel d’un jugement mixte un appel appel en jugement appel en matiĂšre correctionnelle tribunal correctionnel cour d’appel appel en matiĂšre pĂ©nale appel en matiĂšre pĂ©nale suspensif un avocat appel appel en procĂ©dure pĂ©nale appel et jugement davantage encore, L’appel suppression de l’effet suspensif de l’appel appel immĂ©diat jugement mixte appel incident tarif avocat appel appel incident code de procĂ©dure pĂ©nale appel incident procĂ©dure pĂ©nale son avocat fait appel appel jugement assises appel jugement au fond signification Ă  avocat appel appel jugement avant dire droit pourtant, L’appel appel jugement civil saisie arrĂȘt appel jugement clĂŽture liquidation judiciaire appel jugement comparution immĂ©diate tarif avocat en appel appel jugement compĂ©tence appel jugement contravention 4Ăšme classe recevabilitĂ© de l’appel et exĂ©cution du jugement appel jugement correctionnel appel jugement correctionnel partie civile rĂ©cusation appel jugement correctionnel sur intĂ©rĂȘts civils appel jugement cour d’assises recevabilitĂ© de l’appel d’un jugement avant dire droit appel jugement de liquidation judiciaire recours en appel jugement appel jugement de police appel jugement dĂ©lai recevabilitĂ© de l’appel en particulier, L’appel appel jugement en rectification d’erreur matĂ©rielle appel jugement Ă©tranger rĂšgles de pratique de la cour d’appel en matiĂšre pĂ©nale appel jugement exĂ©cution provisoire appel jugement expertise qu’est-ce que l’effet suspensif de l’appel appel jugement homologation appel jugement incompĂ©tence qui a fait l’appel appel jugement interdiction de gĂ©rer appel jugement intĂ©rĂȘts civils les effets de l’appel appel jugement jĂ  dĂ©lai appel jugement liquidation judiciaire dĂ©lai recevabilitĂ© appel hors dĂ©lai appel jugement mise en Ă©tat appel jugement mixte qui fait appel Ă  l’homme appel jugement mixte expertise appel jugement Nanterre quels sont les effets de l’appel appel jugement non avenu appel jugement non signifiĂ© quel avocat pour faire appel appel jugement notification appel jugement ordonnant expertise procureur qui fait appel Ă©videment, L’appel appel jugement par dĂ©faut appel jugement pĂ©nal quelle appel procĂ©dure pĂ©nale appel jugement rectificatif appel jugement rectification erreur matĂ©rielle procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale appel suspensif appel jugement redressement judiciaire appel jugement rendu en dernier ressort procĂ©dure pĂ©nale cour d’appel appel jugement rendu par dĂ©faut appel jugement rĂ©putĂ© contradictoire rĂšglement de la cour d’appel en matiĂšre pĂ©nal appel jugement sur intĂ©rĂȘts civils appel jugement sur la compĂ©tence signification jugement appel huissier appel jugement sursis Ă  statuer appel jugement suspensif signification arrĂȘt cour d’appel chambre correctionnelle appel jugement ti Nanterre appel jugement tribunal correctionnel recevabilitĂ© de l’appel et exĂ©cution provisoire appel jugement tribunal de police appel jugement tribunal de proximitĂ© qui a fait appel du jugement appel jugement tribunal instance appel nullitĂ© jugement procĂ©dure d’appel en matiĂšre civile appel pĂ©nal appel pĂ©nal dĂ©lai procĂ©dure 905 cour d’appel appel pĂ©nal effet suspensif appel pĂ©nal suspensif procĂ©dure d’appel en matiĂšre pĂ©nale appel privĂ© appel procĂ©dure pĂ©nale obligation avocat appel et puis, L’appel appel procĂ©dure pĂ©nale 15-3 appel procĂ©dure pĂ©nale 175 recevabilitĂ© appel nullitĂ© appel procĂ©dure pĂ©nale 1958 appel procĂ©dure pĂ©nale 2020 procĂ©dure pĂ©nale procĂšs en appel avocat gĂ©nĂ©rale appel procĂ©dure pĂ©nale 362 personne qui fait appel appel procĂ©dure pĂ©nale 365-1 appel procĂ©dure pĂ©nale 393 obligation avocat en appel appel procĂ©dure pĂ©nale 40 appel procĂ©dure pĂ©nale 41-1 recevabilitĂ© d’un appel appel procĂ©dure pĂ©nale 41-2 appel procĂ©dure pĂ©nale 429 mesure conservatoire appel procĂ©dure pĂ©nale 475-1 appel procĂ©dure pĂ©nale 529-1 les effets suspensifs de l’appel appel procĂ©dure pĂ©nale 568 appel procĂ©dure pĂ©nale 63-1 l’effet dĂ©volutif de l’appel appel procĂ©dure pĂ©nale 63-4-1 appel procĂ©dure pĂ©nale 706-3 recevabilitĂ© de l’appel provoquĂ© appel procĂ©dure pĂ©nale 706-47 appel procĂ©dure pĂ©nale 706-71 et aussi, L’appel recevabilitĂ© de l’appel incident appel procĂ©dure pĂ©nale 706-73 appel procĂ©dure pĂ©nale 77 les effets de l’appel d’un jugement appel procĂ©dure pĂ©nale 77-1 appel procĂ©dure pĂ©nale 77-2 l’effet suspensif de l’appel en procĂ©dure civile appel procĂ©dure pĂ©nale 78-2 appel procĂ©dure pĂ©nale 89 recevabilitĂ© appel en garantie appel procĂ©dure pĂ©nale 9 code appel procĂ©dure pĂ©nale 9-1 l’effet suspensif de l’appel aujourd’hui appel procĂ©dure pĂ©nale 9-2 appel procĂ©dure pĂ©nale 9-3 l’effet suspensif de l’appel aujourd’hui appel procĂ©dure pĂ©nale 94 appel procĂ©dure pĂ©nale action civile l’effet dĂ©volutif appel procĂ©dure pĂ©nale action publique appel procĂ©dure pĂ©nale approfondie recevabilitĂ© appel Ă  cause de cela, en dernier lieu, L’appel Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, L’appel enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, L’appel ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, L’appel Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, L’appel Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, L’appel En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, L’appel Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, L’appel touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, L’appel Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, L’appel puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, L’appel Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, L’appel et puis, et aussi, procĂ©dure pĂ©nale du cabinet Aci assurera efficacement votre dĂ©fense. Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au tĂ©lĂ©phone ou bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation auteur, co-auteur, complice, receleur ou victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre dĂ©fense durant la phase d’enquĂȘte garde Ă  vue ; d’instruction juge d’instruction, chambre de l’instruction ; devant la chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire aprĂšs le procĂšs, auprĂšs de l’administration pĂ©nitentiaire par exemple. IV. — Les domaines d’intervention du cabinet Aci L’appel Cabinet d’avocats pĂ©nalistes parisiens D’abord, Adresse 55, rue de Turbigo 75003 PARIS Puis, TĂ©l Ensuite, Fax Engagement, E-mail contact Enfin, CatĂ©gories PremiĂšrement, LE CABINET En premier lieu, RĂŽle de l’avocat pĂ©naliste L’appel En somme, Droit pĂ©nal L’appel Tout d’abord, pĂ©nal gĂ©nĂ©ral L’appel AprĂšs cela, Droit pĂ©nal spĂ©cial les infractions du code pĂ©nal Puis, pĂ©nal des affaires L’appel Aussi, Droit pĂ©nal fiscal L’appel MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’urbanisme L’appel De mĂȘme, Le droit pĂ©nal douanier En outre, Droit pĂ©nal de la presse Et ensuite, pĂ©nal des nuisances Donc, pĂ©nal routier infractions Outre cela, Droit pĂ©nal du travail MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’environnement Cependant, pĂ©nal de la famille En outre, Droit pĂ©nal des mineurs Ainsi, Droit pĂ©nal de l’informatique En fait, pĂ©nal international Tandis que, Droit pĂ©nal des sociĂ©tĂ©s NĂ©anmoins, Le droit pĂ©nal de la consommation Toutefois, Lexique de droit pĂ©nal Alors, Principales infractions en droit pĂ©nal Puis, ProcĂ©dure pĂ©nale Pourtant, Notions de criminologie En revanche, DÉFENSE PÉNALE Aussi, AUTRES DOMAINES Enfin, CONTACT. Restez informĂ©s sur nos nouveaux services et nos promotions * J'accepte de recevoir vos e-mails et confirme avoir pris connaissance de votre politique de confidentialitĂ© et mentions lĂ©gales. Option juriste - Je m’abonne en tant que juriste Ă©tudiant ou confirmĂ© et souhaite recevoir les emails ad hoc. DĂ©solĂ©, nous n'avons pas pu confirmer votre inscription... Merci de vous ĂȘtre inscrits sur notre mailing-list! On vous tiendra au courant de l'Ă©volution du site et de nos nouvelles publications. Lexxika est une plateforme de rencontre, d’expression et d’échanges entre juristes Ă  Madagascar Ă©tudiants ou prĂšs de 5 ans d’existence en tant que blog dĂ©diĂ© aux actualitĂ©sjuridiques, la plateforme en train de mettre en place les services d’uneclinique juridique numĂ©rique Ă  Madagascar. Menu Le RĂ©seau Contact Droit Malagasy Espace juristes Nos services Premier Avis Cas PubliĂ©s Mentions LĂ©gales Mentions LĂ©gales Conditions GĂ©nĂ©rales d'Utilisation CODE CIVIL algĂ©rien. CODE CIVIL algĂ©rien. ivre I DISPOSITIONS GÉNÉRALES Titre I Des effets et de l'application des lois Titre II Des personnes physiques et morales Livre II DES OBLIGATIONS ET DES CONTRATS Titre I Des sources de l'obligation Titre II Des effets de l'obligation Titre III Des modalitĂ©s de l'obligation Titre IV De la transmission de l'obligation Titre V De l extinction de l'obligation Titre VI De la preuve de l'obligation Titre VII Du contrats portant sur la propriĂ©tĂ© Titre VIII Des contrats relatifs Ă  la jouissances des choses Titre IX Des contrats portants sur la prestation de services Titre X Des contrats alĂ©atoires Titre XI Du cautionnement Livre III DES DROITS RÉELS PRINCIPAUX Titre I Du droit de propriĂ©tĂ© Titre II Des dĂ©membrements du droit de propriĂ©tĂ© Livre IV DES DROITS RÉELS ACCESSOIRES OU DES SURETES RÉELLES Titre I De l'hypothĂšque Titre II Du droit d'affectation Titre III Du nantissement Titre IV Des privilĂšges DĂ©cret lĂ©gislatif n° 93-03 du 1er Mars 1993 relatif Ă  la promotion immobiliĂšre Texte relatif au contrat de bail Sommaire Ordonnance n° 75-58 du 26 septembre 1975 portant code civil, modifiĂ©e et complĂ©tĂ©e. AU NOM DU PEUPLE, Le Chef du Gouvernement, PrĂ©sident du Conseil des ministres, Sur le rapport du ministre de la jus, garde des sceaux, Vu les ordonnances n os 65-182 du 10 juillet 1965 et 70-53 du 18 djoumada I 1390 correspondant au 21 juillet 1970 portant constitution du Gouvernement; Le conseil des ministres entendu, Ordonne LIVRE I DISPOSITIONS GÉNÉRALES TITRE I DES EFFETS ET DE L’APPLICATION DES LOIS Art. 1. – La loi rĂ©git toutes les matiĂšres auxquelles se rapporte la lettre ou l’esprit de l’une de ses dispositions. En l’absence d’une disposition lĂ©gale, le juge se prononce selon les principes du droit musulman et, Ă  dĂ©faut, selon la coutume. Le cas Ă©chĂ©ant, il a recours au droit naturel et aux rĂšgles de l’équitĂ©. Art. 2. – La loi ne dispose que pour l’avenir; elle n’a point d’effet rĂ©troactif. La loi ne peut ĂȘtre abrogĂ©e que par une loi postĂ©rieure Ă©dictant expressĂ©ment son abrogation. Toutefois, l’abrogation peut aussi ĂȘtre implicite lorsque la nouvelle loi contient une disposition incompatible avec celle de la loi antĂ©rieure ou rĂ©glemente une matiĂšre prĂ©cĂ©demment rĂ©gie par cette derniĂšre. Art. 3. – Sauf disposition spĂ©ciale, les dĂ©lais sont calculĂ©s d’aprĂšs le calendrier grĂ©gorien. Art. 4. – Les lois promulguĂ©es sont exĂ©cutoires sur le territoire de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire. Elles sont obligatoires Ă  Alger, un jour franc aprĂšs leur publication et partout ailleurs dans l’étendue de chaque daĂŻra, un jour franc aprĂšs que le Journal officiel de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire qui les contient, soit parvenu au chef lieu de cette daĂŻra. La date du cachet de la daĂŻra apposĂ©e sur le Journal officiel de la RĂ©publique algĂ©rienne dĂ©mocratique et populaire en fait foi. Art. 5. – Les lois de police et de sĂ»retĂ© obligent tous ceux qui habitent le territoire. Chapitre I Des conflits de lois dans le temps Art. 6. – Les lois relatives Ă  la capacitĂ© s’appliquent Ă  toutes les personnes qui remplissent les conditions prĂ©vues. Lorsqu’une personne ayant une capacitĂ© juridique aux termes de l’ancienne loi, devient incapable d’aprĂšs la loi nouvelle, cette incapacitĂ© n’affecte pas les actes antĂ©rieurement accomplis par elle. Art. 7. – Les nouvelles dispositions touchant la procĂ©dure s’appliquent immĂ©diatement. Toutefois, en matiĂšre de prescription, les rĂšgles concernant les points de dĂ©part, la suspension et l’interruption, sont celles dĂ©terminĂ©es par l’ancienne loi pour toute la pĂ©riode antĂ©rieure Ă  l’entrĂ©e en vigueur des nouvelles dispositions. Il en est de mĂȘme en ce qui concerne les dĂ©lais de procĂ©dure. – Les preuves prĂ© constituĂ©es sont soumises Ă  la loi en vigueur, au ou la preuve est Ă©tablie ou au moment oĂč elle aurait dĂ» ĂȘtre Ă©tablie. Chapitre II Des conflits de lois dans l’espace Art. 9. – En cas de conflit de loi, la loi algĂ©rienne est compĂ©tente pour qualifier la catĂ©gorie Ă  laquelle appartient le rapport de droit, objet de litige, en vue de dĂ©terminer la loi applicable. Art. 10. – Les lois concernant l’état et la capacitĂ© des personnes, rĂ©gissent les AlgĂ©riens mĂȘme rĂ©sidant en pays Ă©tranger. Toutefois, si l’une des parties, dans une transaction d’ordre pĂ©cuniaire conclue en AlgĂ©rie et devant y produire ses effets, se trouve ĂȘtre un Ă©tranger incapable et que cette incapacitĂ© soit le fait d’une cause obscure qui ne peut ĂȘtre facilement dĂ©celĂ©e, cette cause n’a pas d’effet sur sa capacitĂ© et sa validitĂ© de la transaction. Les personnes morales Ă©trangĂšres, sociĂ©tĂ©s, associations, fondations ou autres qui exercent une activitĂ© en AlgĂ©rie, sont soumises Ă  la loi algĂ©rienne. Art. 11. – Les conditions relatives Ă  la validitĂ© du mariage sont rĂ©gies par la loi nationale de chacun des deux conjoints. Art. 12. – Les effets du mariage, y compris ceux qui concernent le patrimoine, sont soumis Ă  la loi nationale du mari, au moment de la conclusion du mariage. La dissolution est soumise Ă  la loi nationale de l’époux, au moment de l’acte introductif d’instance. Art. 13. – Dans les cas prĂ©vus par les articles 12 et 13, si l’un des deux conjoints est AlgĂ©rien, au moment de la conclusion du mariage, la loi algĂ©rienne est seule applicable, sauf en ce qui concerne la capacitĂ© de se marier. Art. 14. – L’obligation alimentaire entre parents est rĂ©gie par la loi nationale du dĂ©biteur. Art. 15. – Les rĂšgles de fonds en matiĂšre d’administration lĂ©gale, de curatelle et autres institutions de projections incapables et des absents, sont dĂ©terminĂ©es par la loi nationale de la personne Ă  protĂ©ger. Art. 16. – Les successions, testaments et autres dispositions Ă  cause de mort, sont rĂ©gis par la loi nationale du de cujus, du testateur ou du disposant au moment du dĂ©cĂšs. Toutefois, la forme du testament est rĂ©gie par la loi nationale du testateur, au moment du testament ou par la loi du lieu oĂč le testament a Ă©tĂ© Ă©tabli. Il en est de mĂȘme de la forme des autres dispositions Ă  cause de mort. Art. 17. – La possession, la propriĂ©tĂ© et autres droits rĂ©els sont soumis, pour ce qui est des immeubles, Ă  la loi de la situation de l’immeuble et pour ce qui est des meubles, Ă  la loi du lieu oĂč se trouvait le meuble, au moment oĂč s’est produit la cause qui a fait acquĂ©rir ou perdre la possession, la propriĂ©tĂ© ou les autres droits rĂ©els. Art. 18. – Les obligations contractuelles sont rĂ©gies par la loi du lieu oĂč le contrat Ă  Ă©tĂ© conclu, Ă  moins que les parties ne conviennent qu’une autre loi sera appliquĂ©e. Toutefois, les contrats relatifs Ă  des immeubles sont soumis Ă  la loi de la situation de l’immeuble. Art. 19. – Les actes entre vifs sont soumis, quant Ă  leur forme, Ă  la loi du lieu oĂč ils ont Ă©tĂ© accomplis. Ils peuvent ĂȘtre Ă©galement soumis Ă  la loi nationale commune aux parties. Art. 20. – Les obligations non contractuelles sont soumises Ă  la loi de l’Etat sur le territoire duquel se produit le fait gĂ©nĂ©rateur de l’obligation. Toutefois, lorsqu’il s’agit d’une obligation nĂ©e d’un fait dommageable, la disposition de l’alinĂ©a prĂ©cĂ©dent n’est pas appliquĂ©e aux frais qui se sont produits Ă  l’étranger et qui, quoique illicites d’aprĂšs la loi Ă©trangĂšre, sont considĂ©rĂ©s comme licites par la loi algĂ©rienne. Art. 21. – Les dispositions qui prĂ©cĂšdent ne s’appliquent que lorsqu’il n’en est pas autrement disposĂ© par une loi spĂ©ciale ou par une convention internationale en vigueur en AlgĂ©rie. Art. 22. – En cas de pluralitĂ© de nationalitĂ©s, le juge applique la nationalitĂ© effective. Toutefois, la loi algĂ©rienne est appliquĂ©e si la personne prĂ©sente, en mĂȘme temps, la nationalitĂ© algĂ©rienne, au regard de l’AlgĂ©rie et, une autre nationalitĂ©, au regard d’un ou de plusieurs Etats Ă©trangers. En cas d’apatridie, la loi Ă  appliquer est dĂ©terminĂ©e par le juge. Art. 23. – Lorsque les dispositions qui prĂ©cĂšdent renvoient au droit d’un Etat dans lequel existent plusieurs systĂšmes juridiques, le systĂšme Ă  appliquer est dĂ©terminĂ© par le droit interne de cet Etat. Art. 24. – L’application de la loi Ă©trangĂšre, en vertu des articles prĂ©cĂ©dents, est exclue si elle est contraire Ă  l’ordre public ou aux bonnes mƓurs en AlgĂ©rie. TITRE II DES PERSONNES PHYSIQUES ET MORALES Chapitre I Des personnes physiques Art. 25. – La personnalitĂ© commence avec la naissance accomplie de l’enfant vivant et fini par la mort. L’enfant conçu jouit des droits civils Ă  la condition qu’il naisse vivant. Art. 26. – La naissance et le dĂ©cĂšs sont Ă©tablis par les registres Ă  ce destinĂ©s. A dĂ©faut de cette preuve ou si l’inexactitude des indications contenues dans les registres est Ă©tablie, la preuve peut ĂȘtre fournie par tous autres moyens dans les formes prĂ©vues par la loi sur l’état civil. Art. 27. – La tenue des registres de naissances et dĂ©cĂšs et les dĂ©clarations y relatives, est rĂ©glementĂ©e par la loi sur l’état civil. Art. 28. – Toute personne doit avoir un nom et un ou plusieurs prĂ©noms. Le nom d’un homme s’étend Ă  ses enfants. Les prĂ©noms doivent ĂȘtre de consonance algĂ©rienne; il peut en ĂȘtre autrement pour les enfants de parents appartenant Ă  une confession non musulmane. Art. 29. – L’acquisition et le changement de nom sont rĂ©gis par la loi Ă  l’état civil. Art. 30. – La nationalitĂ© algĂ©rienne est rĂ©glementĂ©e par le code de la nationalitĂ© Art. 31. – La disparition et l’absence sont soumises aux prescriptions du droit de la famille. Art. 32. – La famille est constituĂ©e des parents de la personne. Sont parentes entre elles les personnes ayant un auteur commun. Art. 33. – La parentĂ© en ligne directe est celle qui existe entre ascendants et descendants. La parentĂ© en ligne collatĂ©rale est celle qui existe entre personnes ayant un auteur commun, sans que l’un descende de l’autre. Art. 34. – En ligne directe, le degrĂ© de parentĂ© est calculĂ© en remontant vers l’auteur commun et en contant chaque parent, Ă  l’exclusion de l’auteur. En ligne collatĂ©rale, on remonte du descendant Ă  l’ascendant commun, puis en descend jusqu’à l’autre descendant. Tout parent, Ă  l’exclusion de l’auteur commun, compte pour un degrĂ©. Art. 35. – Les parents de l’un des deux conjoints sont les alliĂ©s de l’autre conjoint, dans la mĂȘme ligne et au mĂȘme degrĂ©. Art. 36. – Le domicile de tout AlgĂ©rien est le lieu oĂč se trouve son habitation principale. A dĂ©faut, la rĂ©sidence habituelle en tient lieu. Art. 37. – Le lieu oĂč la personne exerce son commerce ou sa profession, est considĂ©rĂ© comme un domicile spĂ©cial pour les affaires qui se rapportent Ă  ce commerce ou Ă  cette profession. Art. 38. – Le mineur, l’interdit, le disparu et l’absent ont pour domicile celui de leur reprĂ©sentant lĂ©gal. Toutefois, le mineur qui a atteint 18 ans et les personnes qui lui sont assimilĂ©es, ont un domicile propre, pour tout ce qui a trait aux actes qu’ils sont lĂ©galement capables d’accomplir. Art. 39. – On peut Ă©lire un domicile spĂ©cial pour l’exĂ©cution d’un acte juridique dĂ©terminĂ©. L’élection de domicile doit ĂȘtre prouvĂ©e par Ă©crit. Le domicile Ă©lu pour l’exĂ©cution d’un acte juridique sera considĂ©rĂ© comme domicile pour tout ce qui se rattache Ă  cet acte, y compris la procĂ©dure de l’exĂ©cution forcĂ©e, Ă  moins que l’élection ne soit expressĂ©ment limitĂ©e Ă  certains actes dĂ©terminĂ©s. Art. 40. – Toute personne majeure jouissant de ses facultĂ©s mentales et n’ayant pas Ă©tĂ© interdite, est pleinement capable pour l’exercice de ces droits civils. La majoritĂ© est fixĂ©e Ă  19 ans rĂ©volus. Art. 41. – L’exercice d’un droit est considĂ©rĂ© comme abusif dans les cas suivants - s’il a lieu dans le seul but de nuire Ă  autrui, - s’il tend Ă  la satisfaction d’un intĂ©rĂȘt dont l’importance est minime par rapport au prĂ©judice qui en rĂ©sulte pour autrui, - s’il tend Ă  la satisfaction d’un intĂ©rĂȘt illicite. Art. 42. – La personne dĂ©pourvue de discernement Ă  cause de son jeune Ăąge ou par suite de sa faiblesse d’esprit ou de sa dĂ©mence, n’a pas la capacitĂ© d’exercer ses droits civils. Est rĂ©putĂ© dĂ©pourvu de discernement, l’enfant qui n’a pas atteint l’ñge de seize ans. Art. 43. – Celui qui a atteint l’ñge de discernement, sans ĂȘtre majeur, de mĂȘme que celui qui a atteint sa majoritĂ©, tout en Ă©tant prodigue ou frappĂ© d’imbĂ©cillitĂ©, ont une capacitĂ© limitĂ©e conformĂ©ment aux prescriptions de la loi. Art. 44. – Ceux qui sont complĂštement ou partiellement incapables, sont soumis, selon le cas, au rĂ©gime de l’administration lĂ©gale, de la tutelle ou de la curatelle dans les conditions et conformĂ©ment aux rĂšgles prescrites par la loi. Art. 45. – Nul ne peut renoncer Ă  sa capacitĂ© ou en modifier les conditions. Art. 46. – Nul ne peut renoncer Ă  sa libertĂ© individuelle. Art. 47. – Celui qui subit une atteinte illicite Ă  des droits inhĂ©rents Ă  sa personnalitĂ©, peut en demander la cessation et la rĂ©paration du prĂ©judice qui en sera rĂ©sultĂ©. Art. 48. – Celui dont le droit Ă  l’usage d’un nom est injustement contestĂ© ou dont le nom a Ă©tĂ© indĂ»ment portĂ© par un autre, peut demander la cessation de ce fait et la rĂ©paration du prĂ©judice subi. Chapitre II Des personnes morales Art. 49. – Les personnes morales sont - l’Etat, la wilaya, la commune, - les Ă©tablissements et offices publics dans les conditions dĂ©terminĂ©es par la loi, - les entreprises socialistes et les coopĂ©ratives, les associations et tout groupement auxquels la loi accorde la personnalitĂ© morale. Art. 50. – La personne morale jouit, dans les limites dĂ©terminĂ©es par la loi, de tous les droits, Ă  l’exclusion de ceux qui sont propres Ă  la personne physique. Elle a notamment - un patrimoine, - une capacitĂ© dans les limites dĂ©terminĂ©es dans l’acte constitutif ou Ă©tablies par la loi, - un domicile qui est le lieu oĂč se trouve le siĂšge de son administration. Les sociĂ©tĂ©s dont le siĂšge social se trouve Ă  l’étranger et qui exercent en AlgĂ©rie, sont rĂ©putĂ©es, au regard de la loi interne, avoir leur siĂšge en AlgĂ©rie, - un reprĂ©sentant pour exprimer sa volontĂ©, - le droit d’ester en justice. Art. 51. – La loi dĂ©termine dans quelles conditions les Ă©tablissements et organismes Ă©tatiques Ă©conomiques et sociaux, les groupements, tels que les associations et coopĂ©ratives, peuvent se constituer et acquĂ©rir la personnalitĂ© juridique ou la perdre. Art. 52. – Sous rĂ©serve des dispositions spĂ©ciales applicables aux Ă©tablissements Ă  caractĂšre administratif et aux entreprises socialistes, l’Etat, en cas de participation directe Ă  des rapports de droit civil, est reprĂ©sentĂ© par le ministre des finances.

art 47 code de procédure civile