Cen'est pas plus moi qui vis, c'est christ, qui vit en moi, Non pas moi, mais Christ, Stephen F. Olford, Vida Eds. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de rĂ©duction . Celleci vit bien les manipulations frĂ©quentes et n’est pas trop tentĂ©e de mordre. La gerbille est divertissante, que vous ayez 7 ou 77 ans : en groupe, elles interagissent et font preuve de drĂŽlerie ! C’est d’ailleurs avec ses copines que la gerbille est la plus heureuse.Pensez-donc bien Ă  lui trouver des compagnes de cage. Jepense qu'elle est influencĂ© par sa maman, elle m'avait dĂ©jĂ  fait le "coup" il y a Ă  peine 3 ans se qui nous avait amener Ă  passer devant le juge, afin d'officialiser mes droit de garde (un WE sur deux plus la moitiĂ© des vacances). Mes rapport avec la maman sont peux franc, devant moi elle dit tout dans mon sens afin que je vois ma fille, et derriĂšre moi Enpw0. Ce n’est plus moi qui vis seul ce que je vis, c’est la foi en JĂ©sus qui m’anime et me fortifie chaque jour comme David dans le psaume 23 "je ne manquerai de rien". J’ai senti sa prĂ©sence quand l’épreuve est venue frapper Ă  ma porte et subitement mes repĂšres se sont trouvĂ©s si loin, alors le Seigneur m’a fait vivre une rĂ©surrection spirituelle. Dans le deuil il est toujours prĂ©sent, sa prĂ©sence rassure, ses conseils si prĂ©cieux, ses bras forts et vigoureux m’ont consolĂ© et assistĂ©. Quand la maladie s’installe pour nous faire vivre un Ă©tat d’exception, sa grĂące seule nous suffit pour tout surmonter. Les pardons successifs accordĂ©s Ă  ceux qui nous offensent deviennent rĂ©alitĂ©s, le mal se transforme en bien. Ce n’est plus moi qui peux vivre cela, mais JĂ©sus en moi en qualitĂ© de Seigneur tout puissant pour m’associer Ă  son triomphe sur la terre et dans le ciel oĂč il a tout pouvoir. Les attentes permises par Dieu pour façonner nos mobiles et nos prioritĂ©s sont encore son Ɠuvre ; sournoisement attaquĂ©, c’est encore Lui qui transforme la sombre vallĂ©e en un lieu plein de sources. Laissons-le vivre en nous, c’est ce qu’il attend de chacun, nos destinĂ©es sont dans sa main, unissons nos mains aux siennes et vivons des temps forts chaque jour. Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous ! 8 fĂ©vrier 2022 Je soutiens le Journal ChrĂ©tien Je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi ; et ce que je vis maintenant
, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 2. 20 La croix, point de rencontre et frontiĂšre C’est Ă  la croix oĂč JĂ©sus est mort que nous nous sommes rencontrĂ©s moi, j’apportais mes pĂ©chĂ©s, et Dieu, qui est juste et saint, Ă©tait lĂ  pour les punir. JĂ©sus s’est tournĂ© vers moi et a pris sur lui mes fautes. Puis il s’est tournĂ© vers Dieu et a subi de sa part le chĂątiment que je mĂ©ritais. Il a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  ma place, et par sa mort je suis sauvĂ©. La croix me rĂ©concilie avec Dieu. La croix est aussi placĂ©e entre le chrĂ©tien et le monde qui refuse Dieu. PrĂšs de JĂ©sus, je peux accepter le mĂ©pris de ce monde-lĂ . Le monde qui paraĂźt si attrayant, je le vois tel qu’il s’est montrĂ© lorsqu’il a crucifiĂ© le Seigneur. Son langage n’a pas changĂ© “Nous ne voulons pas que celui-ci rĂšgne sur nous” Luc 19. 14. “À mort, Ă  mort ! Crucifie-le !” Jean 19. 15. Il reste ce qu’il a toujours Ă©tĂ©, ennemi de Dieu. Si j’attends du monde qu’il m’approuve, je n’ai pas vraiment saisi le sens de ma vie chrĂ©tienne. Ainsi la croix de JĂ©sus a ce double effet elle me rĂ©concilie avec Dieu, et me sĂ©pare d’un monde qui veut se passer de lui. “Qu’il ne m’arrive pas de me glorifier, sinon en la croix de notre Seigneur JĂ©sus Christ, par laquelle le monde m’est crucifiĂ©, et moi au monde” Galates 6. 14. Tu vins du ciel t’offrir en sacrifice, Et par toi seul Dieu fut glorifiĂ© Sa saintetĂ©, son amour, sa justice, Ta croix, JĂ©sus, a tout magnifiĂ©. Source Calendrier La Bonne Semence – Bibles et Publications ChrĂ©tiennes – Achetez un exemplaire de la Bonne Semence en cliquant ici. Le Journal ChrĂ©tien est un mĂ©dia d’espĂ©rance qui passe l’information au tamis de l’Évangile. Il parle des joies et des espoirs ainsi que des tristesses et des angoisses des femmes et des hommes de notre temps. Il appartient au portail web Ă©vangĂ©lique qui regroupe la plateforme de ressources bibliques Bible audio, le rĂ©seau social chrĂ©tien la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision chrĂ©tienne Ă©vangĂ©lique ses applications chrĂ©tiennes gratuites et la lettre de nouvelles "Un message biblique par jour". Je fais un donVotre don est dĂ©ductible d’impĂŽt Ă  hauteur de 66 %, dans la limite de 20 % du revenu imposable. Dans un paysage mĂ©diatique marquĂ© par le mensonge et les fake news infox, fausses nouvelles, fausses informations, informations fallacieuses, le Journal ChrĂ©tien se positionne comme le mĂ©dia de la vĂ©ritĂ©. Nos journalistes et correspondants essaient de s’approcher de la vĂ©ritĂ© des faits avec beaucoup d’humilitĂ©. 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Le soufisme est le mysticisme de l’Islam. Comme tel, il a la particularitĂ© d’exister aussi bien dans l’Islam sunnite que dans l’Islam chiite. DĂ©crire le soufisme est une tĂąche redoutable. Comme tout mysticisme, il est avant tout une recherche de Dieu et son expression peut prendre des formes trĂšs diffĂ©rentes. D’autre part, par ses aspects Ă©sotĂ©riques, il prĂ©sente des pratiques secrĂštes, des rites d’initiation, eux aussi variables selon les maĂźtres qui l’enseignent. Bien que le soufisme se veuille rigoureusement musulman, l’Islam traditionnel, sunnite et chiite, considĂšre le soufisme avec la plus grande mĂ©fiance. En Iran, la grande majoritĂ© des mollas y est vivement opposĂ©e et dans l’Islam sunnite, la plupart des Ulema sont beaucoup plus intĂ©ressĂ©s par la lettre du Coran et ses interprĂ©tations juridiques que par les spĂ©culations des soufis auxquelles ils trouvent une odeur de soufre. Cette opposition gĂ©nĂ©ralisĂ©e contribue Ă  la discrĂ©tion du soufisme. En outre le soufisme n’a aucune unitĂ©. Chaque maĂźtre se constitue une cohorte de disciples attirĂ©s par la rĂ©putation de son enseignement. Tout au plus, ces maĂźtres dĂ©clarent se rattacher Ă  une " confrĂ©rie ", elle mĂȘme fondĂ©e par un cĂ©lĂšbre soufi des siĂšcles passĂ©s ; personne ne vĂ©rifie une quelconque orthodoxie de l’enseignement donnĂ©, du moment qu’il se rĂ©fĂšre Ă  l’Islam. L’importance de cet Islam secret n’en est pas moins remarquable. Historiquement, il a jouĂ© un rĂŽle de premier plan dans la naissance des dĂ©viations du chiisme que sont l’IsmaĂ«lisme et la religion druze. En littĂ©rature, il a profondĂ©ment inspirĂ© certaines des oeuvres arabo-persanes les plus remarquables comme les Contes des Mille et Une Nuits ou le poĂšme d’amour deLeyla et Majnoun. C’est cependant par sa spiritualitĂ© que le soufisme est le plus original. Dans la conception soufie, l’approche de Dieu s’effectue par degrĂ©s. Il faut d’abord respecter la loi du Coran, mais ce n’est qu’un prĂ©alable qui ne permet pas de comprendre la nature du monde. Les rites sont inefficaces si l’on ignore leur sens cachĂ©. Seule une initiation permet de pĂ©nĂ©trer derriĂšre l’apparence des choses. L’homme, par exemple, est un microcosme, c’est-Ă -dire un monde en rĂ©duction, oĂč l’on trouve l’image de l’univers, le macrocosme. Il est donc naturel qu’en approfondissant la connaissance de l’homme, on arrive Ă  une perception du monde qui est dĂ©jĂ  une approche de Dieu. Selon les soufis, toute existence procĂšde de Dieu et Dieu seul est rĂ©el. Le monde créé n’est que le reflet du divin, " l’univers est l’Ombre de l’Absolu ". percevoir Dieu derriĂšre l’écran des choses implique la puretĂ© de l’ñme. Seul un effort de renoncement au monde permet de s’élancer vers Dieu " l’homme est un miroir qui, une fois poli, rĂ©flĂ©chit Dieu ". Le Dieu que dĂ©couvrent les soufis est un Dieu d’amour et on accĂšde Ă  Lui par l’Amour " qui connaĂźt Dieu, L’aime ; qui connaĂźt le monde y renonce ". " Si tu veux ĂȘtre libre, sois captif de l’Amour. " Ce sont des accents que ne dĂ©savoueraient pas les mystiques chrĂ©tiens. Il est curieux de noter Ă  cet Ă©gard les convergences du soufisme avec d’autres courants philosophiques ou religieux Ă  son origine, le soufisme a Ă©tĂ© influencĂ© par la pensĂ©e pythagoricienne et par la religion zoroastrienne de la Perse ; l’initiation soufie, qui permet une re-naissance spirituelle, n’est pas sans rappeler le baptĂȘme chrĂ©tien et l’on pourrait mĂȘme trouver quelques rĂ©miniscences bouddhistes dans la formule soufie " l’homme est non-existant devant Dieu ". MĂȘme diversitĂ© et mĂȘme imagination dans les techniques spirituelles du soufisme la recherche de Dieu par le symbolisme passe, chez certains soufis, par la musique ou la danse qui, disent-ils transcende la pensĂ©e ; c’est ce que pratiquait Djalal ed din Roumi, dit Mevlana, le fondateur des derviche tourneurs ; chez d’autres soufis, le symbolisme est un exercice intellectuel oĂč l’on spĂ©cule, comme le font les Juifs de la Kabbale, sur la valeur chiffrĂ©e des lettres ; parfois aussi, c’est par la rĂ©pĂ©tition indĂ©finie de l’invocation des noms de Dieu que le soufi recherche son union avec Lui. Le soufisme apporte ainsi Ă  l’Islam une dimension poĂ©tique et mystique qu’on chercherait en vain chez les exĂ©gĂštes pointilleux du texte coranique. C’est pourquoi ces derniers, irritĂ©s par ce dĂ©bordement de ferveur, cherchent Ă  marginaliser le soufisme. C’est pourquoi aussi les soufis tiennent tant Ă  leurs pratiques en les faisant remonter au prophĂšte lui-mĂȘme Mahomet aurait reçu, en mĂȘme temps que le Coran, des rĂ©vĂ©lations Ă©sotĂ©riques qu’il n’aurait communiquĂ©es qu’à certains de ses compagnons. Ainsi les maĂźtres soufis rattachent-ils tous leur enseignement Ă  une longue chaĂźne de prĂ©dĂ©cesseurs qui les authentifie. Cette lĂ©gitimitĂ© par la rĂ©fĂ©rence au prophĂšte n'entraĂźne cependant pas d'uniformisation du mouvement soufi les Ă©coles foisonnent et chacune a son style et ses pratiques. Ces Ă©coles sont gĂ©nĂ©ralement dĂ©signĂ©es en français sous le nom de confrĂ©ries. Avant de procĂ©der Ă  l'Ă©tude de quelques unes d'entre elles, il faut toutefois garder Ă  l'esprit que les confrĂ©ries sont devenues, non pas une institution, mais au moins une maniĂšre de vivre l'Islam si gĂ©nĂ©ralement admise que toutes sortes de mouvements, mystiques ou non, se parent du titre de confrĂ©rie pour exercer leurs activitĂ©s. Qu'on ne s'Ă©tonne donc pas de rencontrer parfois des confrĂ©ries fort peu mystiques Ă  la spiritualitĂ© rudimentaire, bien Ă©loignĂ©e des spĂ©culations Ă©levĂ©es qui ont fait du soufisme l'une des composantes majeures de la spiritualitĂ© universelle. Michel Malherbes, Les Religions de l’HumanitĂ©, pages 192-194 Ed. CritĂ©rion Pour aller plus loin
 Soufisme, Mystique et EsotĂ©risme. Comme l’indique Michel Malherbes dans l’article prĂ©cĂ©dent , le Soufisme recouvre des rĂ©alitĂ©s trĂšs diffĂ©rentes dans l’Islam. En quelques mots nous voudrions proposer une rĂ©flexion pour distinguer " mystique " et " Ă©sotĂ©risme ". La " mystique " au sens propre consiste Ă  vivre le plus possible uni Ă  Dieu. Par exemple Marie de l’incarnation, une religieuse française du XVIIeme qui avait Ă©tĂ© mariĂ©e, mĂšre de famille et veuve , qui avait dirigĂ© une entreprise de transport avant d’entrer chez les sƓurs Ursulines, fut envoyĂ©e au Canada oĂč elle construisit un collĂšge pour jeunes filles françaises et indiennes. Elle Ă©tait tout le temps en union Ă  Dieu que ce soit chez le notaire pour signer les actes ou avec les entrepreneurs pour suivre la construction. Et mĂȘme lorsqu’un hiver le bĂątiment prit feu, et qu’on ne pouvait Ă©teindre l’incendie parce qu’il faisait moins vingt degrĂ©s et que l’eau Ă©tait gelĂ©e, Marie de l’Incarnation tomba Ă  genoux dans la neige et loua Dieu. Cette façon de tout vivre en union avec Dieu dans la vie quotidienne, que l’on soit religieux ou laĂŻc, c’est la vie mystique. On vit d’une certaine façon cachĂ© en Dieu, on est dĂ©jĂ  entrĂ© dans le mystĂšre sans fin de la vie Ă©ternelle, la vie avec Dieu. Le Roi des Belges Beaudouin s’efforçait de vivre de cette façon sa vie publique comme sa vie privĂ©e sans que rien ne parut nuire aux devoirs de sa charge ni Ă  son amour d’époux. Ainsi comprise, la vie mystique est ouverte Ă  tous, il s’agit de laisser Dieu, par amour, vivre en nous. Comme dit saint Paul, ce n’est plus moi qui vit, mais c’est le Christ qui vit en moi. La mystique n’est pas une disparition de la personne qui garde son caractĂšre, son histoire, son gĂ©nie mĂȘme, et tout ce qui fait qu’elle est unique et lui permet d’ĂȘtre aimĂ©e. Toutes les religions proposent elles une mystique ? A l’évidence seulement celles qui ont rencontrĂ© Dieu comme personne et donateur de vie. Dans ce sens il n’est pas impossible Ă  des Musulmans de vivre la mystique, Soufistes ou non. Il est certain que le Soufisme met l’accent sur cette union Ă  Dieu. Mais est ce toujours dans des conditions dignes de Dieu et de l’homme ? C’est ici qu’il est nĂ©cessaire de voir la distinction radicale entre " mystique " et " Ă©sotĂ©risme ". Car l’EsotĂ©risme tourne vĂ©ritablement le dos Ă  la Mystique. Alors que la mystique est accueil de Dieu, de sa rĂ©vĂ©lation et de son amour, l’ésotĂ©risme prĂ©tend donner le pouvoir d’acquĂ©rir Dieu, voire de devenir Dieu en franchissant par ses propres efforts des degrĂ©s de " connaissance " rĂ©servĂ©s Ă  des " initiĂ©s " qui se rĂ©servent ces pouvoirs. Il n’est sans doute pas difficile de comprendre que si Dieu existe vĂ©ritablement il est encore plus " personne " que l’Homme. Il a donc aussi une libertĂ©. Et s’il est libre de se donner comment pourrait on mettre la main sur lui par des " connaissances " et des " initiations ". Dieu ne s’atteint que s’il se donne lui mĂȘme, et si on l’accueille. L’EsotĂ©risme c’est la volontĂ© de puissance spirituelle par l’accession Ă  des " secrets " ou des techniques . Loin de libĂ©rer l’homme ces secrets et ces techniques fabriquent un spiritualisme artificiel dans lequel le " connaissant " s’enferme. L’illusion de " connaĂźtre " empĂȘche d’entendre Dieu qui se rĂ©vĂšle en parlant Ă  qui est assez humble pour dĂ©sirer le connaĂźtre tel qu’il se dit. Ainsi certains s’enferment dans un thĂ©orie numĂ©rologique, d’autres dans les diffĂ©rents tiroirs d’une caractĂ©riologie dĂ©terministe, d’autres encore dans des rubriques d’horoscopes, d’autres dans des techniques de mĂ©ditation . Le vrai Dieu c’est celui qui rend libre et qui propose son amitiĂ© Ă  tout homme, non Ă  quelques initiĂ©s " Il s’attache Ă  moi et moi je le rend libre , il m’appelle et moi je lui rĂ©ponds "Psaume 91,versets 14 et 15. Ce Dieu lĂ  est entrĂ© dans l’histoire des hommes par la porte des humbles, en se faisant petit enfant , Ă  BethlĂ©em il y a deux mille ans. HervĂ© Marie Catta Quand quelqu’un se dĂ©finit, il commence souvent par “Je suis
”. Je suis psychologue, cuisinier, une personne tendre, rĂąleuse
Mais cela n’est pas vrai, personne n’est rien -en essence- de plus qu’une autre. Qui se dĂ©finit de cette maniĂšre oublie de nombreux autres aspects de n’est totalement psychologue, ni totalement cuisinier, tendre ou rĂąleur. Ce sont seulement des caractĂ©ristiques particuliĂšres qui se dĂ©veloppent de temps en temps dans notre vie, mais qui ne doivent pas nous est bien plus correct d’affirmer que “Parfois, je pratique la psychologie, d’autres se prĂ©parent un bon plat, que je peux ĂȘtre tendre et de temps en temps, je me comporte comme un rĂąleur”Ainsi, nous ne nous prĂ©sentons pas de maniĂšre globale mais comme si cette partie de nous dont nous parlons constituait notre moi complet, alors qu’en rĂ©alitĂ© ce ne sont que des parties de notre personne, qui est bien plus Dr. Albert Ellis, pĂšre de la thĂ©rapie rationnelle Ă©motive, nous apprend qu’il est prĂ©fĂ©rable d’utiliser le verbe “avoir” plutĂŽt que le verbe “ĂȘtre”, ce qui permet d’évaluer des comportements particuliers ou des actions concrĂštes de personnes, mais non pas la personne dans sa peut se sentir aussi mal avec lui-mĂȘme ? Évidemment, celui qui s’évalue de maniĂšre globale aura une auto-estime beaucoup plus basse que les personnes qui sont conscientes qu’une attitude, une qualitĂ© ou une possession particuliĂšre ne les dĂ©finit pas en tant qu’ĂȘtre qui vous dĂ©finit ?L’acceptation inconditionnelle dont parle Ellis suppose que les ĂȘtres humains ne tombent pas dans le piĂšge de se dĂ©finir en fonction de caractĂ©ristiques extĂ©rieures, superflues ou pĂ©rissables, comme le sont le physique, la rĂ©putation, le succĂšs, l’argent ou le l’inverse de cela, les personnes doivent apprendre Ă  s’accepter en marge de tout cela et Ă  s’aimer inconditionnellement pour le simple fait d’ĂȘtre Ellis, tous les ĂȘtres humains ont la mĂȘme valeur, indĂ©pendamment de nos qualitĂ©s et de nos dĂ©fauts donc il est impossible de calculer la valeur d’une n’existe pas de rĂšgle pour le mesurer, mĂȘme si malheureusement, dans notre culture, on affirme qu’une personne vaut plus ou moins en fonction de certains traits ou ne nous amĂšne qu’à des comparaisons absurdes avec les autres, et Ă  faire retomber notre auto-estime selon ce que nous devrions ou nous ne devrions pas possĂ©der
Nous pourrions Ă©numĂ©rer tant de pathologies en lien avec cette acceptation le cas de quelqu’un qui se compare avec quelqu’un d’autre car ce dernier a obtenu un succĂšs professionnel plus personne accorde une si grande importance au succĂšs professionnel que cela la dĂ©finit complĂštement, alors que ce n’est qu’une petite partie de sa nous cherchons bien, nous trouverons sĂ»rement des pensĂ©es du type “Je ne vaux rien”, “Je n’obtiendrai jamais rien”, “Je suis un incapable car je ne suis pas devenu quelqu’un dans la vie” personne se sentira trĂšs malheureuse, jettera sĂ»rement l’éponge, arrĂȘtera de lutter pour ce qu’elle aime et ne fera qu’entretenir sa faible ne serait pas arrivĂ© si elle s’était acceptĂ©e sans condition, c’est-Ă -dire, si ses pensĂ©es avaient Ă©tĂ© plus rationnelles -pas forcĂ©ment positives- “Je n’ai pas rĂ©ussi cela mais j’ai d’autres choses importantes dans ma vie”, “Ce n’est pas parce qu’untel a plus de succĂšs que moi que je suis un incapable”, “Ma valeur en tant que personne n’est pas fonction de mes rĂ©ussites professionnelles”
Vous Ă©valuerez les autres de la maniĂšre dont vous vous Ă©valuezPour rĂ©ussir une bonne acceptation inconditionnelle de soi-mĂȘme, il faut aussi accepter les autres de maniĂšre clĂ© se trouve dans le fait de ne pas attribuer trop de valeur ou d’en enlever Ă  la personne qui se trouve Ă  nos cĂŽtĂ©s, quelle qu’elle soit. MĂȘme si c’est quelqu’un de peu gracieux, de trĂšs intelligent, de trĂšs connu ou un SDF du coin de la rue. Ils ont tous la mĂȘme un point trĂšs important, car il permet Ă  nos relations d’énormĂ©ment s’ nous ne jugeons pas autant, si nous n’évaluons pas les autres pour ce qu’ils font, nous ne le ferons pas non plus envers nous-mĂȘme et nous nous libĂ©rerons de ces Ă©normes pressions qui parfois nous font quelques stratĂ©gies que vous pouvez mettre en place ne pas ĂȘtre si exigeant et ne pas vouloir changer l’autre, pardonner et comprendre que nous nous trompons tous parfois, ne pas juger les autres d’un point de vue global ou mĂȘme particulier et aimer les personnes car ce sont tout simplement des ĂȘtres humains, comme techniques se rĂ©percuteront positivement sur vous car vous crĂ©erez l’habitude de l’acceptation inconditionnelle et vous ne serez pas aussi exigeant avec les autres, avec vous-mĂȘme, et avec la vie en gĂ©nĂ©ral, ce qui gĂ©nĂ©rera des Ă©motions plus n’oubliez pas que ce qui vous dĂ©finit, c’est qui vous ĂȘtes, pas ce que vous avez
 La Bible Louis Segond Galates 220 Louis Segond 1910 - J’ai Ă©tĂ© crucifiĂ© avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Nouvelle Édition de GenĂšve - J’ai Ă©tĂ© crucifiĂ© avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Segond 21 - J’ai Ă©tĂ© crucifiĂ© avec Christ ; ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; et ce que je vis maintenant dans mon corps, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimĂ© et qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour moi. Les autres versions Galates 220 Bible Semeur - Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi. Ma vie en tant qu’homme, je la vis maintenant dans la foi au Fils de Dieu qui, par amour pour moi, s’est livrĂ© Ă  la mort Ă  ma place. Galates 220 Bible français courant - de sorte que ce n’est plus moi qui vis, mais c’est le Christ qui vit en moi. Car ma vie humaine, actuelle, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimĂ© et a donnĂ© sa vie pour moi. Galates 220 Bible annotĂ©e - Je suis crucifiĂ© avec Christ ; je vis, non plus moi-mĂȘme, mais Christ vit en moi ; et en tant que je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimĂ©, et qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates Bible Darby - Je suis crucifiĂ© avec Christ ; et je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi ; -et ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Bible Martin - Je suis crucifiĂ© avec Christ, et je vis, non pas maintenant moi, mais Christ vit en moi ; et ce que je vis maintenant en la chair, je le vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimĂ©, et qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates Bible Ostervald - Je suis crucifiĂ© avec Christ, et si je vis, ce n’est plus moi, mais c’est Christ qui vit en moi ; et si je vis encore dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimĂ©, et qui s’est donnĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Bible de Tours - Et je vis, ou plutĂŽt ce n’est pas moi qui vis, mais c’est JĂ©sus-Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans ce corps mortel, j’y vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 2 v 20 Bible Crampon - et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi. Ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Bible Sacy - et je vis, ou plutĂŽt ce n’est plus moi qui vis, mais c’est JĂ©sus -Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans ce corps mortel, j’y vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimĂ©, et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme Ă  la mort pour moi. Galates 220 Bible Vigouroux - Et je vis, non ce n’est plus moi, mais c’est le Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ©, et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Galates 220 Bible de Lausanne - Je suis crucifiĂ© avec Christ, et je vis, non plus moi, mais c’est Christ qui vit en moi ; et ce que je vis maintenant en la chair, je vis en la foi, en la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimĂ© et qui s’est livrĂ© lui-mĂȘme pour moi. Les versions Ă©trangĂšres Galates 220 Bible anglaise ESV - I have been crucified with Christ. It is no longer I who live, but Christ who lives in me. And the life I now live in the flesh I live by faith in the Son of God, who loved me and gave himself for me. Galates 220 Bible anglaise NIV - I have been crucified with Christ and I no longer live, but Christ lives in me. The life I now live in the body, I live by faith in the Son of God, who loved me and gave himself for me. Galates 220 Bible anglaise KJV - I am crucified with Christ neverthless I live; yet not I, but Christ liveth in me and the life which I now live in the flesh I live by the faith of the Son of God, who loved me, and gave himself for me. Galates 220 Bible espagnole - Con Cristo estoy juntamente crucificado, y ya no vivo yo, mas vive Cristo en mĂ­; y lo que ahora vivo en la carne, lo vivo en la fe del Hijo de Dios, el cual me amĂł y se entregĂł a sĂ­ mismo por mĂ­. Galates 220 Bible latine - vivo autem iam non ego vivit vero in me Christus quod autem nunc vivo in carne in fide vivo Filii Dei qui dilexit me et tradidit se ipsum pro me Galates 220 Ce verset n’existe pas dans cette traducton ! Galates 220 Bible allemande - Und nicht mehr lebe ich, sondern Christus lebt in mir; was ich aber jetzt im Fleische lebe, das lebe ich im Glauben an den Sohn Gottes, der mich geliebt und sich selbst fĂŒr mich hingegeben hat. Galates 220 Nouveau Testament grec - ζ ÎŽáœČ ÎżáœÎșέÎč áŒÎłÏŽ, ζῇ ÎŽáœČ ጐΜ áŒÎŒÎżáœ¶ ΧρÎč· ᜃ ÎŽáœČ ÎœáżŠÎœ ζ ጐΜ αρÎșÎŻ, ጐΜ Ï€ÎŻÎ”Îč ζ ῇ οῊ âž‚Ï…áŒ±ÎżáżŠ οῊ ΞΔοῊ➃ οῊ áŒ€ÎłÎ±Ï€ÎźÎ±Îœ ΌΔ Îșα᜶ Ï€Î±ÏÎ±ÎŽÎœÎż ጑αυ᜞Μ ᜑπáœČρ áŒÎŒÎżáżŠ.

ce n est plus moi qui vit